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Saphaniax

The eggs of Phénix .

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Bonjour à tous .

 

Le précedent RP, n'étant guère inspiré en avanture et surtout suivible pars les autres, on m'as chargé de crée un nouveau Background, pour un nouveau RP tout beau tout neuf . ( En tout cas j'espère ) .

 

Mais avant tout petite préscision de cette section , avant toute chose .

Il faut savoir avant toute chose que cette section à été crée pour tous .

Ainsi que ce soit les menbres inscrit sur ce site ou bien encore des menbres de notre team tous le monde à droit d'y participé .

 

Et j'encourage notamment vivement les autres menbres de ce sites qui surrement timide ne se sont pas encore manifesté à venir participé(e)s .

 

Je dois aussi rappelé que tout post contenant e la violance pure et gratuite à tous va beigant dans le sang ou tous autres post pouvant choqué les âmes sensibles seront éffacés sans pitié .

 

 

 

Je vous le rappel tout le monde peut venir ici .

 

Et tous ceci étant valable à partir du 1 er post .

 

Ps: On interdit pas bien sur les phases de combats , n'y vouloir des combat à la narnia du genre je te donne un coup d'épée mais par le miracle du saint esprit il n'y à aucune goutte de sang coulée .

Mais comme dit précedemment celle ci ne doit pas être pure & free .

 

Eviton aussi les post gangnan même si ils ne seront pas effaçé .

 

Note importante !

 

Tout HRP devra obligatoirement être inscrit dans une balise spoiler , pour la continuitée de l'histoire et ne pas génée la lecture, tout post ne fesant êtat d'ames sur cette règle se véront effaçé .

 

Vos post metteront en entrée votre personnage n'oublié donc pas que votre récit devra être principalement du point de vue du votre ;)

Je rappel que la partie récit doit être en Italique et les dialogues normalements, l'histoire va très rapidemment se déplacé jusqu'en Vvardenfell ( morrowind , ile ) si vous faite bien fonctionné vos neuronnes, donc rien ne sert à la précipitation dans les rencontres, vous pouvez faire votre chemin en parralèle jusqu'a la rencontre, bien sur Glenwind tu as bien le droit d'allé direct au contact .

 

Merci de votre compréhension .

 

 

A noté aussi que les hrp seront au bout d'un temps enlever du Rp, pour une meilleur lisibilitée à moins qu'il ne soit essentiel .

Avis au menbre de la team : Aucune référence au planète de notre mod est permise, pour évité tout spoiler, le thème stargate n'est dailleur pas abordé dans ce RP , vous êtes aussi obligatoirement elfes, hommes , kajiit ou argoniens, et non je ne suis pas un kajiit dans cette histoire ^^

 

Bon maintenant que vous savez tout vus que j'ai horreur de parlé comme ça, je vais vos faire l'intro du background, il y aurra ici un perssonage en plus, que tout le monde aurra droit de dirigé dans la limite du résonable .

 

:wizard::wizard::wizard::wizard::wizard::wizard::wizard::wizard::wizard::wizard::wizard: :

 

Les oeux du phénix.

 

La mer.

S'est incroyable comme elle paraisais belle ce jour là .

Dailleur tout était splendide ici , la falaise aux herbes vert sombres, qui de temps à autres été balayé par un vent .

 

Au loin, la tempète, térrible et assasine fesait son oeuvre au dessus des eaux, de l'océan .

 

Mais elle se rapprochais .

Ces lourd nuages noirs avançais impasible face à la beautée de ce paysage.

 

Mais quelques chose n'allais pas , quelque chose cloché .

Il n'y avait aucun bruit , le bruit des oiseaux semblé avoir disparu.

 

Pas une mouette ni un goéland, même les rares braillard des falaises pourtant si hargneux que dangereux n'était pas là .

 

Puis soudain un bruit , le chant de vue tourna en direction de ce son aussi éguisé qu'une lame .

La curiositée qui avait pris le pas céda dès lors à une vision de terreur .

 

Un deadra, était là.

Rare ils étaient en cette terre abondonné par tous, la bretonnie depuis les anciennes guèrre n'était plus aussi atractif qu'avant, cette région oublié encore plus .

 

Le deadra était absolument repoussant, mais que faire ?

 

Celui ci semblait porté une armure d'ébène, et à la main claymore .

 

Lui échappé , mais comment et où ?

Ici ce n'était qu'un terrain de falaise.

Le niveau de la mer était trop bas pour sauté et les pleines continué à pertes de vues.

 

Le deadra s'approcha claymore lévée .

 

Lui échappé...

 

Il fallait absolument lui échappé , s'était ça ou mourrir .

 

Mais même courir ne suffisait pas, le deadra ne semblait pas être au prise de la fatigue, malgrès son énorme armure .

 

Un caillou . Un misérable petit cailloux faucha sa route.

De cette fuite improbable.

 

Le deadra approcha claymore levée, celle ci s'éleva haut dans les airs , le ciel était noir , la lame étincela dès lors d'un obscur scintillement .

 

Froid et meurtrier la lame commança à décrire sa course mortelle .

 

Ces yeux se fermèrent , la fin était proche .

Comment cela pouvait il être possible ? Ques ce que le dedra lui voulait ?

 

Puis soudain le miracle .

La lame fondit tout à coup; frappée d'une flamme aussi ardente que celle du soleil .

Un immense oiseau n'imbé de flammes volait dans le ciel, une profonde mélodie s'en échappa d'un language inconnu , le deadra se figea dès lors pris de douleurs atroce .

 

L'oiseau cracha des flammes qui formèrent un mot : Vvarde...

 

Le deadra ne laissa pas le temps et lança une de ces poignards deadriques; la lame décriva un angle parfait pour finir se figée à cotée de sa tête , un deuxième fut lançé .

 

Juste cette fois et assasin, un crie de terreur lui echappa .

 

-Nooooooooooooooooooooooooon !!!!!!!!!!

 

Oveanne se reveilla en sursaut éfrayée, ce rève lui avait pourtant parus si réel !!!

 

Elle se leva, et se regarda dans son mirroir du haut de sa chambre.

 

Elle vue alors une charmante jeune femme, brune au yeux bleue la fixée, éffrayé .

 

Elle remarqua dès lors une minuscule égratignure sur sa joue gauche , sa tête tourna dès lors en direction de sont lit .

 

Un poignard deadrique y était planté.

 

Elle avait de grave problème et le plutôt sera le mieux quand elle verra sa chamanane de son village .

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Glenwind   

Paxton Fettel...tel est son nom, jeune dont le talent n'est pas reconnu, il est équipé d'une vielle armure et d'une cape qui lui on été bien des fois utiles...

Il ne connais pas ces parents, et aire depuis tout petit dans differents villages.

Plusieurs nom lui furent attribuer, le fantome, le rat, celui que l'on ne fait qu'apercevoir et autres nom dont il ce moquet conpletement.

 

Cela faisait 92 jours qu'il marcher de Kull a Balmora dans l'éspoire de trouver l'aventure...mais cela faisait 92 jours qu'il ne trouver rien.

 

*parfois je me demende si je ne préféreré pas la guerre...." ce dit il.

 

La nuit tombée, Paxton chercher un abrit ou dormir, il arriva devant un petit maison en bois du style moyenageux, un toit de chaume, volets inexistant, cette maison avais des petites fenetres qui laissé a peine la lumiere rentrée.

 

Paxton s'avanca alors sans bruit mais sans douceur vers la porte.

 

Toc Toc...

 

Rien....

 

Toc Toc Toc !

toujour rien

 

TOC TOC TOC !!!

 

La porte s'ouvrit alors...

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Elle s'était réveillé dans un cauchemar réel au point d'en avoir gardé un souvenir. Elle tentait, en buvant quelques sujamma (ce qu'elle n'avait jamais fait auparavent) dans la petite cuisine de la maison de chasser son cauchemar. Sa petite masure était composé de trois pièce, la cuisine, au rez-de-chaussé, où s'entreposait des sacs, vivres, table, assiettes, cheminée... Bref, tout ce qu'un bon ménage à besoin pour vivre. Ca chambre était petite, avec une étroite fenêtre, dont les carreaux sale montraient le peu de rangement qu'il y était effectué... Son lit, dont les draps était en boule après son éprouvant cauchemar, était fait d'un bois rustique, laid, mal ouvragé, mais résistant bien aux gens un peus rustre qui ne save que très peu s'occuper d'eux. Cela convenait parfaitement à notre héroïne. Une armoire sombre que le peu de lumière de la lune éclairait contenant des vêtements usagé, à de nombreux endroit recousus trônait dans un des coins éloigné de la pièce, imposante, tel un monstre des profondeurs, prêt à sauter à la gorge quand le dormeur s'assoupissait. La troisième salle était la cave, petite, comme le reste de la maison, et ne contenait que quelques bouteilles poussiéreuses qui avait été entassés sur des étagères qui ne semblait que vouloir rendre l'âme.

Oveanne, après avoir finis son verre, tenta de se rendormir, sachant pertinament que l'armoire et ses pasect inquiétant, tout les bruits de la maison qui lui semblais comme des avertissements d'un danger imminent, l'empêcherais de dormir, et elle passerais sans doute une nuit blanche. Une de plus. Son rêve, très présent, l'effrayait, l'empêchait de dormir. La dague, qu'elle avait jeté dans un des coins éloigné de la chambre, étincelait et réfléchissait froidement les éclats glaciales de la lune. C'était une certitude : elle ne trouverais pas le repos.

Elle avait presque réussis à s'assoupir, quand on toqua. Et fort. Elle gromella, se leva en s'habillant en hâte avec un peignoire, et descendit les marche de bois avec de nombreux grincements. La personne retoqua, avec trois coup rapide. Elle ouvrit le loquais, et tira la porte, prête à insulté l'individus qu'elle verrait. Mais elle ne put que le regarder, le soufle coupé.

L'homme qui se présentait était habillé d'une longue cape à capuche, cette dernière lui dissimulant les traits dans l'ombre, laissant seulement apercevoir son menton pointus. Il était habillé d'une armure discrette, parfaite pour le camouflage, sombre, comme tout le reste de ses habits. Son armure, déjà usagé à de nombreux endroit, lui avait sauvé la vie à de nombreuse reprise, déviant les attaques de briguand.

Elle le détailla, lui, de corpolulence mince, d'une taille élancé, gracieuse, aux mains élégantes, ses bottes couvert d'une couche de boue sèches.

- Bonsoire, madame, mais pourrais-je passer une nuit dans votre demeure ? C'est qu'il commenca à faire froid et je ne...

- Mais entrez, voyons, venez vous réchaufer, vous avez l'air frigorifié.

Pourtant, nous étions en vifazure, mais la température la nuit atteignait les -10 degrés, petit inconvénient qui n'était arrivé que très récamment. Oveanne allat mettre quelques bûches à brûler, qu'elle alluma ensuite, laissant le temps au feu de réchauffer progressivements la pièce.

- Vous êtes très généreuse. Je suis heureux que vous ayez accepté de me loger cette nuit sous votre toit. Je ne sais où j'aurais passé ma nuit sinon.

- Oh, ne vous traquassez pas, c'est ce que tout le monde devrait faire.

Elle l'aurait volontier accepté, ce n'était pas ça qui la tracassait, c'était qu'elle était certain de l'avoir déjà vus quelques part...

L'homme enleva sa capuche, révélant son visage au coin du feu : visage légé au trait fin et effilé, de long cheveux blond or, des lèvres mince, il ne pouvait y avoir qu'une qu'une seule race pour avoir une telle beauté, c'était les elfes des bois, les plus habiles tireurs qui existait. Mais il n'était apparemment pas que beau, il semblait aussi avoir une vivacitée d'esprit sans égales, comme le remarqua Oveanne quand il commença à lui faire la conversation avec une élégance et une justesse dans son language que peu de personnes avait de cette époque, et encore moins de la notre. Elle aprit au fur et à mesure de la conversation que son nom était Paxton Fettel, qu'il était un chômeur qui cherchait du travail, mais quand elle l'intérogea sur ses origines, d'où il avit pus apprendre ce language si doux à enttendre si il n'était qu'un ouvrier, et d'où venait son armure... En clair, quel était son passé, il refusa de répondre, se justifiant qu'il était fatigué; Il finit son verre de vin, et alla se coucher dans le matella qu'elle avait mis à son intention par terre, près du foyer dont seul les braises rougeoyaient. Elle le regarda pendant quelques secondes, intrigués, puis pris le bougeoir et s'en alla dans sa chambre, décidé à dormir

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Shiamr   

Spoiler : cliquez ici pour voir le message
Chacun fait son chemin, on se rencontrera plus tard ok?

 

Shiamr se reveilla et se mit a marcher vers son armoire, là ou était entreposée son armure legere, noire, refletant la crainte, que son père lui avait légué. Il était un assassin, il le savait, il avait sa dans le sang.

Les petits boulots en temps qu'assassins se fesaient de plus en plus rares dans balmora, il devait bientot partir vers une autre ville, il sortit une carte de Vvaardenfell. Puis se dirigea vers les enclos.

Bon, je suis à l'auberge de Balmora, je vais essayer de voir si une ville se trouve plus au nord. Caldera sera parfaite, je suis sur que La pelle de shenk regorge de recherches de bandits. Il me reste 500 pieces d'or, de quoi payer l'aubergiste de Caldera, je vais y aller a pied, sa ne me fera pas de mal pas vrai Guetop?

 

Guetop, un guar agé de maintenant 15 ans, suivait sans arrets shiamr dans ses voyages et ses quetes. Il l'aidait a porter les trésors et les captures de l'assassin. Il lui évitait aussi des frait inutils en echasiers des marais.

 

Shiamr et Guetop se dirigèrent ensemble vers caldera, là ou des bandits recherchés seront à la hauteurde shiamr.

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La prescence de cet individu ne rasuré pas pour autend Oveanne , non pas qu'elle en eu peur .

Au contraire cette homme ne lui parraisé pas étrangé.

Ce visage, elle l'avait vu quelque pars elle en était persuadé , mais il y avait beaucoup plus important, la dague .

 

Il fallait qu'elle voit là dague.

Elle poussa dès lors la porte de sa chambre; elle était là , possé sobrement sur un tabouré de bois , froide et maléfique .

Elle le prit dès lors dans ces mains, la dague était dure et froide , magnifiquement bien travaillé et sertie de ce qui semblait être des rubis au pommeau, le fil de la lame était éfilé et elle se coupa facilement quant elle voulu en évalué sa capacitée .

 

Comment était ce posible ? Comment une dague de surcroit deadrique avait eu le moyen de parvenir depuis son rève jusqu'à elle ?

 

Toutes ces question l'obscédé , mais il était tard.

La nuit n'allé surement pas être facile , et le lendemain encore moins car il faudrait dès lors déméllé le tout avec sa chamanne .

 

Il fallait aussi qu'elle se débrouille pour se faire suivre par cet inconnu , elle allait surement en avoir besoin pour la protégée de tout les dangers qui pouraient parsemmé sa route .

 

* *

*

 

Lyen se reveilla dans la nuit en sursaut , son père l'avais appelé du haut de la vielle tour de pière que son vieux père et lui habitaient.

-Lyen !!!

Celui ci essaya tant bien que mal de se levé mais tomba aussitôt face au sol empétré dans ces couvertures blanches un peu jaunie par le temps et l'usure .

 

La pièce de la tour ou il est dormé n'était dailleur guère meublé, un secrétaire en chène, couvers de livres, troné à coté de son lit , ainsi qu'une penderie à l'opposé de la pièce .

 

Lyen essaya tant bien que mal d'enfilé sa chemise et son pantalon , la vielle tour située au sud de VVardenfell, sur les montagnes rocheuses n'arrangais rien du tout par le frois qui y reigné .

 

- Lyen !!!! Tu te décide oui ou non ?

 

Lyen soupira et gravit les escaliers, s'était toujours pareil.

Son père qui était astronome l'appelé tout le temps pour lui faire par de ces découvertes , au grand malheur de Lyen qui voyait son temps de sommeil diminué par ces sortie nocturnes .

 

Une fois arrivé en haut il lui demmanda :

 

- Qu'il y a t'il ?

 

-Regarde .

 

Lyen regarda alors dans la direction que lui montrait son père, tout dabord il ne perçus rien, mais à force d'attention et de minutie il tomba sur une étoiles étrange .

Incroyablement rouge et brillante .

 

-Père ... ?

 

- Ce n'est pas une étoile mon fils, regarde mieux .

 

Lyen regarda alors plus attentivement et perçus dès lors une forme majestueuse évolué dans les airs, les flames semblait faire partie intégrante de la nature .

 

- Papa ?

- S'est un Phénix, fils.

Le monde on compte de moins en moins et pourtant ils sont les créatures les plus nobles qu'il puisse avoir éxisté, ont raconte que à leur mort ceux ci s'emflamme pour ensuite renaitre de leur cendres , mais encore faut t'il que leur oeuf aient le temps d'éclore .

 

Lyen vit dès lors le phénix disparaitre dans la montagne, l'instend été passé aussi vite qu'il n'était venu .

 

Mais s'était déja trop tard lyen n'avait qu'une chose en tête , le revoir .

 

* *

*

Un village entouré de brumes , celui même ou Oveanne et son hote dormais, fut tout d'un coup animé par des lueur de torches, des personnes de haute statures arrivèrent à l'entrée du village .

 

* *

*

Philémont n'était qu'un humble éleveur de guar , la journée précedente avait été rude, de nombreux guar étaient tombé malades et les affaires n'avait pas vraiment marché .

 

Plusieurs de ces clients potentiel n'avaient dailleur pas voulu d'un seul de ses guars maladif , même à demi prix .

 

Puis un bruit retentie, des cris , des pleurs, reveillant Philémont qui n'avait aucunement envie de s'engagé d'en une affaire qui ne le concerné pas .

 

Mais quelque chose n'allait pas , il décendit en vitesse pour allé voir ce qu'il se passait.

 

Il sortit dès lors dans la rue et rencontra des mystérieux inconnus dans la place .

 

-Ques que s'est bin qu'tout s'rafus ? J'aimerai bien dormir moi ?

 

- Qui êtes vous ? Demanda t'on d'une voie glacée et tranchante .

 

-Je m'appel Philémont , je ne suis qu'un humble vendeur de guar ...

 

-Savez vous ou se trouve Oveanne ?

 

-Moi? oui ...heu en fait non quesque vous voulez ?

 

l'inconnu qui lui avait posé la question s'approcha , dégaina une épée sombre comme du charbon et ordonna d'une voie glaçée :

 

-Dis moi où elle se trouve ...

 

-....Ell..elle se troutrouve tout.. à l'est du..Du Village monseigneur ...

 

-Je vous remercie,mais on ne peut se permètre qu'il y est de témoins .

 

- Comment ?!?

 

Philémont commençais vraiment à prendre peur ...

 

Il se demanda à quel fou il avait affaire ,et commança à reculé prudemment , mais l'homme leva sa lame menaçant .

 

-Non monseigneur , pitié je vous en supplie !

 

La lame s'abbatie en un bruit sourd .

 

Le cauchemar d'Oveanne ne fesait que commancé .

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Oveanne se réveilla, pour la deuxième fois de la nuit, mais pas parce qu'elle avait fait un cauchemar, mais parce qu'elle commençais son cauchemar...

Elle se leva d'un bon, entendis un bruit de chope au rez de chaussé... La dague ! La seule arme qui pouvait encore l'aider ! Elle la saisit à pleine main, frissonant au contact du métal glacé, et descendit prudamment les marches d'escalier. Il y eu un grincement. Une ombre se jeta sur elle, lui arrachant la dague des mains avant qu'elle ne réagisse. Elle vit avec soulagement que ce n'était que Paxton qui maintenant, regardait avec effroie l'arme qu'il venait de lui arracher.

- Cette arme... Ou l'avez vous eu, lui demanda-t-il sans quité, livide, la dague des yeux

- Je ne sais pas... Je l'ai retrouvé cette nuit dans ma chambre

Consciente que ce qu'elle disait n'avait pas le moindre sens, elle tenta de mieux s'expliquer, mais il l'en arrêta :

- Non, nous n'avons pas le temps. Si je suis réveillé, ce n'est pas parce que je soufrait d'insomnomie.

Avant qu'elle ait eu le temps de l'intéroger sur ce qui se passait, il l'entraina vers le haut de la maison, dans la chambre. Il baricada la porte de l'intérieur en poussant l'armoire contre la porte, leur bloquant la sortie au res-de-chaussez. Oveanne qui était rester sans rien dire tenta de protester contre ça, mais un hurlement l'en empêcha

- Je ne sais pas ce qu'il y a dans votre village, mais en tout cas, sa s'approche !

A travers la fenêtre, il virent arriver une cavalcade qui s'arrêta près de l'entrée, et trois hommes descendirent de leurs cheveaux. Dans le peu de lumière, on voyait seulement leur longue cape, qui flottait derrière, ainsi que leurs épées qui réfléchissaient les rayons de la lune. Voyant que la porte était bloqué, le plus fort d'entre eux commença à arracher la porte de ses gonds à la force de l'épaule. Des craquements sinistres résonaient.

- Vite, j'ai l'impression qu'il ne nous veulent pas que du bien ! Il faut trouver le moyen de sortir. Vite... Vite... La fenêtre !

* *

*

Les nains sont fais pour creuser, pas pour combattre, tout le monde le sait, mais pourtant, moi, Börjok, fils de Blörk le costaud, je décidai de partir loin des montagnes, vers la vallée, avec comme seul amies ma fidèles hache en fer, qui, longtemps, m'a servit pour couper le bois. Mais bientôt, elle me servira à couper les membres des briguands qui m'affronteront pour me voler mes richesses. pourquoi est ce que je voulus quitter la douceur des montagnes pour me lancer dans l'aventures périlleuse ? Je ne sais pas. Je sais seulement que je devais le faire. Et je ne le regrette pas aujourd'hui. Quand je préparis mes frêles bagages, ignorant tout du rôles cruciale que j'allait jouer, comme chacun de mes compagnons, certains défunlts, les nains tentèrent de me raisonner. Tout leurs savoirs de forageurs ne mit pas à bas ma détermination. Je partit fièrement, laissant ceux que j'aimais derrière moi, en avec devant moi, l'inconnus.

 

J'arrivis dans une petite ville nommé Caldéra à la tombé de la nuit, les jambes en cotons, ne la connaissant que de nom pour être la plus proche de ses mines. La ville en elle même n'était pas extraordinaire, comme je pus le constater : des petites boutiques de marchand, une taverne d'ou sortait en quasi permanence des bruits de voix éttoufé par les fenêtre. Quelques maison tout aussi primitives étaient construites, la plupart de leur occupant, soit étaient partit travaillé, soit étaient en train de se payer une tournée dans la taverne de chope de bierrre, bien mousseuse, renversant la plus grande partit par terre tandis qu'ils chantaient des chanson et comptines criardes, pour ne pas dire grossière et vulguaire. J'aperçut une ou deux personnes craintives qui couraient dans la rue pour aller chez eux ou chez un marchand, craintive. Même les gardes du Fort qui y étaient installé semblait craindre le pire. Ce n'était sûrement pas le moment d'attirer l'attention si l'on voulait garder la tête sur les épaules. Mais j'était fatigué, comme tout les être vivant : je n'avais jamais fait une telle distance à pied. Un nain nait dans la montagne, et il y reste ! Mais pas moi. Je voulais de l'action. J'allait être servit...

Un garde s'aprocha de moi, menaçant, et, d'après son halène, je conclut qu'il était ivre. Il valait mieux ne pas l'enerver.

- Alors, le nain...hips... tu fais... fais quoi ? hips !

- Je vien de la montagne, répondis-je prudament à l'amphore, et je suis érinté, si vous connaissiez un endroit respectable où je pourrais dormir, je vous en serais reconnaissant.

- Un... Endroit pour...pour...pour dormir ? Il semblait réfléchir à quelque chose qu'il aurait oublié, Non, je ne vois pas... Je ne... Ah mais si... Vous pou...pou...pouvez aller à la taverne, c'est... fréquentable, et bon...bon...marché.

Je remerciais cet homme ivre, et je me dirigis vers ce qui semblait être la taverne. Des éclats de voix, des comptines idiotes, des éclats de rire... Tout ça étaient mélangé à la fois. Si ça c'était un endroit fréquentable, alors que je devienne un elfe m'étais-je dit sur le moment ! Mais je devais passer la nuit au chaud, et or de question de dormir dehors. Je taperais simplement plus fort que l'autre. J'allais ouvrir la porte quand celle-ci s'ouvrire, par la force d'inertie de l'homme qui en sortit en vol plané, et j'entendis une voix gutturale qui intimait à la personne étalée dans la boue de la rue de ne pas revenir... Je pénétrais dans l'établissement, calmant quelques conversation, et des personnes peu fréquentable commencèrent à me regarder d'un sale oeil.

 

Comment aurais-je pus savoir ce qui m'y attendais ? Comment aurais-je pus savoir ce qui allait scéller le destin de tous ? Je n'aurais pas pus, à moins d'être magicien, ce que je n'était pas...

 

Lentement, les conversations s'arrêtèrent les unes après les autres. Tout le monde recardait, intrigué, étoné, voir hostilement le nain qui, indifférent, alla au comptoire prendre une bierre. Mes pas claquaient sur le dallage, unique bruit dans toute l'auberge, chaque client me disséquiant du regard. Je savai que les nains étaient rare, mais quand même !

Je m'assis sur un des tabouret, et je hélai le Barman. Celui-ci, lentement, posa le verre et le torchon avec lequel il le nettoyait, et pris une chope dans le meuble derrière lui... Bien sûr, j'au la plus crasseuse, mais je fis mine de ne pas l'avoir vus, et il me servit une longue rasade d'une bierre moussante, à la limite du débordement. Il me la posa sèchement sur le comptoire, et repris conscienscieusement de nettoyer son verre.

Là, je compris que je n'était pas vraiment le bienvienus : Un homme baraquer tel une baraque se leva, s'aprocha de moi, et prit la chope avant moi, et la but, laissant dégouliner la bierre sur sa barbe brune.

- Alors le Nabot, c'que tu fous ici ?

- Messieur, je ne puis comprendre votre language.

Il éclata d'un rire gras, et rabatit la chope en fer si violamment que le comptoire se fendilla.

- Alors, tu répond la demi-portion ?

Content de sa plaisanterie de mauvais goût, il éclata à nouveau d'un rire gras, et la majoritée de la salle le suivit. Indifferent, je commendais au Barman apeuré une chambre, mais avant qu'il ne me réponde, le "gorille" m'interpela :

- Tu penses aller où, la naine ? Ici, c'est moi qui décide, alors tu fous le camps d'ici !

Les nains sont réputés pour leur passience, mais il y a un moment où il ne faut pas abuser.

- Si tu ne t'écartes pasde mon chemin, tu aura du mal à t'asoire pendant un petit bout de temps.

Il sourit méchament, certain de sa supérioritée par rapport à moi. Erreur, l'habit ne fais pas le moine

- Vaz-y, approche, dit-il en enlevant sa ceinture contenat sa dague et en l'envoyant sur une table, montre nous si t'es une brute.

La salle ria encore, moi, restant impassible, je ne répondit pas, mais j'enlevis ma hache que je lancis sur une table où elle resta figée. Le combat allait commencer...

Dans un hurlement, il se précipita, point levé sur moi. Avec une grâce de nain, je m'écartai de son chemin ,et il alla finir sa route contre une table, qu'il renversa. Il se redressa, un peu étourdit, et nous nous mîmes à tourner, chacun attendant le moment favorable pour frapper.

Là, je ne vit pas une écuelle par terre, et je perdit l'équilibre une fraction de seconde, juste le temps à notre brute pour me frapper de plein fouet. Je crus qu'une montagne m'était tombé dessus, et je sentit le goût du sang dans ma bouche. Il se jeta sur moi pour m'écraser, mais j'arrivis à éviter le drame en roulant sur le côté. L'auberge commençais a hurler le nom de la montagne, mais son dernier coup m'avait tellement fais soufrire que je serais incapable de vous dire comment il s'appellait. Il s'aprocha de moi, menaçant, et moi, je me mis à reculer, toujours un peu dans les vapes. Quand je faus acculé à la table, mes mainscherchant frénétiquement un objet sur cette dernière, je crut ma fin arrivé quand il leva le point, prêt à frapper. Et l; miracle, je trouvit une cruche. Je la lui lançais au visage, où elle se brisa, lui entaillant sérieusement lui visage, le sang et la douleur l'aveuglant, il agitait les poings en tout sens en m'injuriant. Je profitai da la situation, et je me lançai contre lui, lui rentrant avec le plus de vitesse que je pouvais dans l'estomac. Je le renversait, et moi avec, et nous commençâmes à nous frapper, sans savoir si nous touchions justes ou pas, et je me rapelle que je réussis à sortir entier, si l'on oublit qu'il m'avait cassé l'arcade sourcilière, ainsi que le nez, et bien d'autre endroit avaient été un peu cabossé.

Le nez en sang, et d'une humeur massacrante, je saisit la clef que tendais le barman apeuré, je regardit une dernière fois l'homme que je venait de mettre KO, je saisit ma hache, et, dans la clameur de l'auberge, j'étais allé me coucher, érinté, mais fier...

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Shiamr   

Shiamr, qui avait suivi la scene depuis une table du fond, arriva devant l'homme K.O.

Il sortit sa dague, puis s'accroupi pour parler doucement à l'homme alongé.

Jure moi qu'a présent, tu ne sous estimera plus un nain.

 

L'homme, après mure reflexion, jura et alla se coucher à l'étage.

Barman, je voudrai le numero de la chambre du nain.

 

Le voici, mais je ne veut plus d'ennui, je connais votre reputation, vous etes un Nerano c'est sa? les assassins les plus cruels de vvardenfell, j'ai reconnu votre armure.

 

Promettez moi de ne jamais divulger mon nom a qui que se soit dans cette ville, sa risque de causer de grave problemes qui pourraient se retourner contre vous.

 

Pas de problemes, le nain est allé chambre 112, à l'étage.

 

Merci.

 

Shiamr prit la clef de sa chambre, et monta se coucher.

En pleine nuit, on entendit des cris dans le village. Les hurlement disaient "ON VA TOUS MOURRIR! AIDEZ NOUS! ILS ARRIVENT!"

Shiamr s'habilla, prit sa dague en ebonite, et partit voir se qui se passait dehors.

En bas, il reconnu le nain, avec sa magnifique hache, qui avait du etre aiguisée toute la nuit.

 

J'ai entendu des hurleman, vous aussi nain?

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Je ne mettais pas tout de suite endormis, j'ai fais ce que toute personne de sensé aurait faite : j'ai tenté de me guérir, et j'appuis sur le terme tenté. Un bandage de tissus dissimulait mon nez, ainsi que mon sourcil droit. Je n'avait au début pas réussis à m'endormir, craignant que la brute ne vienne dans la nuit pour se venger, mais la fatigue du combat et de la journée finit par avoir raison de moi, et je m'assoupi dans mes draps à moitié déchirer par mes essais de guérisons, en ayant mis ma fidèle hache à portée de main. Au milieu de la nuit, des hurlements me reveillèrent. Je m'empêtrais pendants plusieurs minutes, tentant de sortir de cette boule de draps qui m'oppressais. J'y arrivis enfin, et quand je sortit ma tête du lit, il ne me fallut que quelques seconde pour m'habituer au peu de lumière, don héréditaire des longues journe à creuser dans le noir complet dans le flanc de la montagne en quête d'or.

Je crus à un mauvais rêve pendant une fraction de seconde, quand j'en entendis d'autre. Le village se réveillait, affolé, et ce n'était pas parce que des amis arrivaent...

Ayent pris ma bonne vielle hache que je saisis à pleine main, je m'élançait à travers la chambre, pour débouler dans le couloir. Mais là, trahison, ma porte était bloqué ! Quelqu'un l'avaity verouillé pendant mon someille, me bloquant du monde extérieur. Mais pourquoi ?

La répons arriva bien assez tôt : J'entendis un grognement sourd venant d mon armoire que je n'avais pas ouverte.

- Oups ! Et M.... !

Je n'avais pas le temps de savoir si c'était féroce ou pas, il fallait que je sorte ! Je pris un peu d'élan, et je fonçait en mettant mon épaule en avant pour forcer la porte. Le seul résultat fut que je souffris. Et les gratements et grognements n'était que plus présent; Je pris ma hache, et, l'abatant avec une cadence quasi identiques, les coups se succédèrent, comme lorsque je coupais le bois. Cette porten était seulement pour moi un chêne particulièrement résistant. D'un seul coup, la porte se rompit et une brêche fut visible. Je l'agrandit avec quelques coup bien placé, et je me mit à courire comme un forcené dans le couloir sombre, la hache à la main, les mains en sueurs. Je dévalai les escaliers, arivait dans le bar, désert. Les bougies éteinte de puis longtemps semblait venir d'un autre âge. Je courut à travers la pièce, renversant les tables derrière moi, et arrivai devant la porte d'entrée. Elle aussi vérouillé. Et là, j'entendis un craquement à l'étage, dans ma chambre. Les fauves étaient laché.

Prenant mon courage à deux main, je sautai sur la vitre, la brisant en des millier de bout hérissé qui m'entaillèrent le corps, et je butai contre des volets, eux aussi vérouillé... Mais au moins, ils étaient moins épais que la porte. Avec deux coup de haches, je brisai le loquais qui les verrouillais, et je sortit dehors. Comparé à l'intérieur comme mort, le village était en effervescence. Pas un seul endroit ne courait quelqu'un affolé, une torche à la main, tentant de réveiller toute les personnes.

La "chose" me sauta dessus, par derrrière. Je ne sus jamais ce que c'était, à aprt que c'était poilus, avec des dents, et que c'était féronce. Je tombai face contre terre, tentant de respirer tandis que la chose lassairai mes vêtements, en mécorchant le dos.

Avec un geste de désespoire, je roulais sur le dos, exposant mos estomac, mais au moins, je pouvais frapper. Ce que je fit.

Du sang verdâtre et écarlate se mirent à couler de partout, le premier venant du monstre, et le deuxième, de mon corps. La hache frappait encore et encore, amis avec de plus en plus de faiblesse, et j'allait mourrir si un paysan, apercevant la bête, ne lmui avit envoyé sa torche pour l'effrayer. Elle poussa un hurlement quand la trche commença à la brûler, puis elle s'enfuit , les flammes s'éteignant progressivements de son corps, tandis que je gisais, agonisant... Je me rapelle seulement de visage flou, de cris, ensuite, des personnes m'ont soulevé, et m'on emmené dans un endroit reculé du village, je crois, car je voyais encore les étoiles, à moins que je ne délirais...

J'ai vus en visage plus vieux que les autres, couvert de rides, s'approcher de moi, et déboucher une sorte de fiole. De la magie, certainement

Je tentais vainement de refuser : les nains ne doivent pas utiliser la magie, même dans les cas extrême, où leur âmes ne rejoignent pas le panthéons des dieux, d'après notre religion. Mais je ne pus résister, et la vielle femme qui se trouvait devant moi me versa son elixir dans la gorge. Une sensation de bien être me parcourus, puis de bonheur intense, et je sentit mes os, ma chaire, ma peau... Bref, tout ce qui avait été endomagé se restoré...

Au bout de cinq minutes, je pouvais voir mieux, de dix, je tenais debout, et de quinze, j'était prêt au combat. On m'avait transporter dans une maison entre temps et, assit sur un lit, j'écoutais la vielle dame :

- ILs arrivent. Comme à chaque fois, nous n'y pouvons rien. Chaque années, pendant une nuit que nous ne connaissons pas, ils arrivent, suivant un tracé que nous ne connaissons pas, détruisnat tout sur leurs passages.

- Mais qui sont-ils ?

- Nous les nommons les Innomables, car les prononcer porte-malheur, dit-on.

Quoi que je dise, je n'arrivis pas à en savoir plus sur ces Innomables qui arrivaient, ni comment ils arriveraient, et surtout, de où.

Je sortit, ayant nettoyé ma hache ensanglanté, et j'attendis devant l'auberge, teant fermement ma hache, tendis que les paysans, armé de fourche et de faux, craignaient le pire

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Spoiler : cliquez ici pour voir le message
Shiamr , il suffit de suivre un peu l'histoire et cela ne devrait pas posé de problème, corrige tes incohérence , et peut être pourra tu rencontré le nain , sinon on est pas dans medal of honnor , l'histoire suit une certaine continuité , et personne n'y est tout puissant ;)

 

JE vien de me rendre compte d'une horible erreur à corigé , s'est paxton qui dit s'être déplacé de khuul à balmora etc etc , toujours est t'il est je le maintient comme écrit dans mon 1er post que Ovéanne se trouve dans une régions de Brétonie donc assé loin de Vvardenfell mais ils vont y allé assé rapidement ;) .

 

Ovéanne et Paxton étaient affolés, mais par où partir ?

 

Pendant que Paxton cherchais un moyen de baricadé la maison à l'aide de table et de bric et de broc devant la fureur des asaillants, Oveanne quant à elle s'abillat à toute vitesse, et pris sa besace de manière à pouvoir transporté son poignard, et elle déscendit à toute vitesse rejoindre Paxton qui tenté tant bien que mal de baricadé la masure dans laquelle Ovéanne semblé vivre, elle s'empressa de l'aidé .

 

- Paxton ?!

 

-Oveanne ! laisse tombé cette chaisse , il nous faut partir ou quelque chose me dit que l'on ne vivra pas assé bien longtemps pour connaitre nos agréseur !

 

- Mais par où ?!

 

-Allez vien suit moi .

 

Ovéanne suivit dès lors Paxton , les coup contre la porte et les volets se fesant de plus en plus retentisants, ils courèrent vite au deuxième étage de la masure et fermère la porte de la chambre.

 

Paxton s'avança et donna un violant coup de pied dans la fenètre qui vola en éclat .

 

- Ovéanne saute ! Nos n'avons plus le temps, il nous faut nous enfuir de cette maisson !

 

-Quoi ?! Du 1er étage mais je vais me brisée le coup !

 

- Ovéanne ...

 

- Non , non , non je ne peu pas j'ai le vertige et..

 

Paxton ne lui laissa pas le temps de terminé sa phrase et la prit entre ses bras tout en s'approchant de la fenètre pour évalué la hauteur .

 

- Mais lachez moi , ou je vous préviens que ..

 

- Que quoi ? Voulez vous gente dame que je vous laisse au prise de ces inconnu ?

 

-Non .

 

- Alors sautton !

 

Dès lors tout en bas au rez de chaussé la porte se brisa , des coup d'épée s'afairant à détruire la porte pour libéré un passage .

 

Ovéanne et Paxton pendant ce temps là sautèrent , puis s'enfuirent en courant par dérière la maisson .

 

Enjambère la cloture de bois vermoulu que Ovéanne possédé et s'enfuir s'en demandé leur reste, dans l'obscuritée du petit matin .

* *

 

*

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J'attendais, dans la fraîcheur de la nuit, tandis que je luttais farouchement contre le sommeil, les "innomables". Le fait de ne pas les nommer me paraissait complètement idiot. La religion des nains affirme que rien n'arrive par hasard, et que les croyances local dans la malchance ne sont que des absurditées. Cela à de nombreuses fois été démontré. Mais pire que de me rendre exécrable car personne (j'avais intérogé au moins quinze personne) ne voulaient me renseigner sur ce qui risuqait de nous tuer, c'est que j'ignorait complètement comment le combatre, si il était magique ou pas. Et l pire dans tout ça, c'est que ces idiots pourraient sauver avec un peu de chance leurs vies si ils me disaient CE QUI NOUS ATTENDAIS. J'en aurais hurlé de rage. Alors, assis sur une souche d'un arbre mort, j'attendais, passant mon temps avec l'herbe de pipe, ce "poison" d'après les nains, mais auquel j'étais malheureusement devenus dépendant...

Pendants les quelques heures qui avait suivit mon attaque par la bête, les cris n'ont pas cessé, mais au lieu d'être la panique, c'était maintenant l'organiation pour résister le plus longtemps possible aux "Innomables"

Ils étaient actuellement en train de fouiller l'auberge pendant que je surveillait, énervé, la lueur grésillante de ma pipe éclairant faiblement mon visage. Ils n'avait rien trouvé, car par on ne sait quel moyen, tout les locataires avaient été sortit de leur someille et évacué quand les "Innomables" avaient été signalé, par un messager comme je le compris quand je tentais de trouver la réponse à mes intéroguations. Bien sûr, par un heureux hasard, on m'avait oublié. Mais comme cela m'étonais au plus haut point, les nains sont réputé pour avoir un someille léger, et de plus, j'était très méfiant quand je m'étais couché, donc quand tout le monde aurait hurlé pour sortir de l'auberge, je me szerais réveillé, je fis inspecté ma chambre, et on trouva dans le verre d'eau que j'avais bus le soir une croûte jaunâtre, qui, d'après la vielle dame qui était guérisseuse, était une drogue que l'on utilisait pour endormir. Et Aparemment, il est incolore et inodore, at c'est à cause du manque de mouvement que la croûte c'était déposé. Et malgré une inpection (qui n'était, il est vrai, pas très minutieuse, les habittants avait une autre crainte) une deuxième personne avait été droguée.

Je vis sortir de l'auberge un homme, en armure, d'une couleur sombre, par la porte d'entrée désormais ouvert. Il regardait autour de lui, étonné, sur la défensif, cherchant à comprendre qu'est ce qu'il y avait. Puis il m'aperçut. Le plus inquiétants était qu'il semblait me reconnaitre, et son armure ne pouvait pas vraiment attiré la confiance.

- J'ai entendus des hurlements, vous aussi le nain ?

Je me renfrognait, crachant un panache de fumée.

- Est ce que je vous ai demandé votre avis, l'humain ?

Conscient de l'insolence involontaire de ses propos, il s'excusa, et me demanda ce qu'il se passait. Je lui répondit qu'à part que nous avions tout les deux été victime d'une tentative de meurtre, que tout le monde paniquait car de certain "Innomable" allait arrivé et ue tout le monde craignaient, rien de spéciale ne se déroulait.

- Mais qui sont les Innomables ?

- Je n'en sais pas plus que vous ! Personne ne veut rine me dire ! Je ne sais même ps si c'est magique ou pas et...

Des cries m'intérompurent. Ce n'étaient pas les cris habituelle des personnes qui tentaient de préparer au mieu le siège, c'était ceux des personnes qui avaient VUS. ils arrivaient, et ils étaient visible

- Et bien, vous vouliez voir à quoi il ressemblait, et bien, regardez...

Tout les habitants regardaient, apeuré, le ciel, en pointant du doigt ce qui ressemblais à une boule de feu. Mais non, cette petite boule se raprochait, grandissante, et l'ondistinguait maintenant les ailes, ainsi qu'un corps. Et il n'y en avait pas qu'un. Une bonne dizaine de ses "oiseaux" se raprochaient, pour la plus grande panique des habitants, regroupé derrière des amoncellement de pierres.

Et d'un coup, je compris ce que c'était ! Ce ne pouvait être que des Phénix ! Bien sûr ! Ces oiseaux mythique existaient donc vraiment ! Je les regardaient évolué avec grâce, fondant dans le ciel en faisant un ballet qu'eu seul connaissaient...

Mais pourquoi les habitants de Caldéra les craigniaient-ils donc ? Pourquoi craignait-ils ces oiseaux si beau et intelligent ?

La réponse n'allait pas tarder, et elle n'était pas très positive...

Lentement, les oiseaux s'aprochèrent de haut Caldéra. Lentement, ils commencèrent à se déporter vers la droite, et j'entendis des soupirs de soulagement. Mais ils étaient faux. Les oiseaux fondirent sur la ville dnas un hurlement à cous glacer le sang. Je me mis à trembler de peur. D'une peur comme jamais je n'en avais connus. Le carnage allait commencé. Les oiseaux, doublant, triplant leurs vitesses, se raprochèrent de Caldéra avec beauté, mais d'une beauté cruelle qui ne pardonne pas, une beauté d'une telle violence que vous ne pouvez en ressortir vivant. Je connus la pire nuit de mon existence.

Les gardes, tremblants, décochèrent leurs flèches en argent, mais leur stock était limité, et il le savait. La première volée toucha les deux premiers phénix, leurs transperçant les ailes, les estropiant à vie. Ils poussèrent des cries de détresse et de douleur, puis ripostèrent. Leur bec écarlate s'ouvrit, et un jet de flamme en sortit, arosant la baricade de pierre d'un tir mortelle. 5 homme périrent, dans une soufrance si grande que je ne pourrais vous la décrire, et personne ne devrais avoir à voir cela. Et l'hécatombe ne faisait que commencer... Je ne pouvais rien faire face à se massacre pour sauver les paysans de ces monstres de flammes, tel venus des Enfers !

Mais ma fidèle hache me fut quand même utile. Elle me servit comme boureau, exécuteurs d'honneur de ces monstres. Les deux phénix tentèrent de reprendre de l'altitude, mais leurs ailes blessé ne put les aider, et des lances lancé par les gardes les paralysèrent pour la dernière fois de leur vie au sol. Je m'élançait, avec notre mystérieux homme de l'auberge, vers le phénixlee plus proche,qui devait bien faire environs 15 mètres de lonngueur, et le double les ailes déployé. Mais là, il les avait replié, les flèches se liquéfiant par la chaleur. La chaleur... Cette chaleur était si intense que l'air autour de lui ondulait. Trois hommes s'élancèrent, pique en avant, pour tenter d'achever la créature agonisante, mais qui lançait encore des jets. Et pendant ce temps là, les volé de flèches se succédaires, inlassable, touchant rarement les phénix qui maintenant pris d'une rage ancestrales fondait sur les habitants qui hurlaient en tous sens, les transformant en torche vivante, brûlant les maisons sans pitiée, anéantissant la ville. Le chaos règnait partout.

Mais moi, j'étais en partie dans mon élément, les flammes... Les forges... Les trois hommes furent brûler vif, tandis que leur cadavre calciné restait accroché à leur armes, qui étaient elle même empallé sur le dos du phénix. Je m'élancit. Je ne sus jamais ce qu'il se passait dans la ville. Je voyais seulement le phénix, qui me voyait aussi, à la chaleur rdent des flammes, ainsi que sa douleur. Je m'approchais le plus possible, sentant progressivement ma chair brûler tandis que je refoulais tout mes instincs qui me disaient de partir et de laisser la bête ouj elle était. Mais je devais. Dans un ultime effort, je lancis avec précision ma hache, visant le coup. Je ne le ratis pas, lui autend presuqes intantanément la vie. Le cadavres se mit à fumer, puis il se transforma en un tat de cendre brûlant, les cadavres à moitié enfuit la dedans.

J'avais tué un Phénix, une de ces créature de rêve, mais dans mon esprit, je n'avais aucun remors, car c'était de l'auto-défense...

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Lyen ne pouvait dormir malgrès les intéruption intempestives de son père dans son sommeil , Lyen ne parvenais plus à se rendormir.

Le phénix l'oscédé littéralement, il n'en avais dailleur jamais vu auparavant.

Il faut dire ces oisseaux sont vraiment fantastique, la carrure élançé avec laquel bas des ailes nimbé de flammes dans une grace divine inégalable.

 

Lyen finit dès lors par se levé, à quoi bon ?

Son père était lui couché depuis longtemps , il dormais ainsi jusqu'a que le soleil soit haut dans le ciel et la rumeurs courrait dans les bourg voisin que celui ci était devenu un vampire.

Ce qui n'arrangais aucunement Lyen, déjà qu'il ne parraisai pas dans la norme des autres jeunes hommes de son age , son père n'arrangais rien du tout en restant cloitré dans sa tour à oservé le ciel, cela l'agaçais mais il fallait faire face , il pris dès lors très tôt à être débrouillard par rapport au autres.

 

Lyen se leva enfila sa veste en peau de guar acheté il y a de cela bien longtemps à un riche marchant et se relooka dans un mirroir ébréché que son père voulais à tout pris gardé .

 

Il n'y vit dès lors qu'un adolescent dans son 19 cicle , son tein était plutôt mat , il aurait dit on des origines rougegardes et altmer aimé à dire son père .

Sont allure avait sinon tout ce qu'il y avait de plus normal .

Il était brun au yeux marrons où brillé une lueur de défis , pas réllement beau, n'y un fin athlétique .

Mais asurement un fin stratège.

 

Il écrivit un mot avec la plume de braillard et laissa le tout sur son lit .

Il partit dès lors dans les montagnes où il eu apreçus la dernière fois le phénix .

 

Le chemin était long , le paysage montagneux n'inspiré dailleur pas confience dans la marche et s'était une folie pour les gens qui n'étaient pas du coin que de se promené une fois la nuie tombée.

 

Un vent froid balaya les quelques feuilles des rares arbustes poussant à ces auteurs , Lyen s'enmitoufla dès lors un peu plus dans sa veste, s'imprégnant au passage de l'odeur chaude du cuir .

 

Puis après plusieurs minutes d'escalades , il arriva enfin vers la gorge par laquelle était passé le phénix , il regarda tout autour de lui à la recherche de la lueur rouge , mais ne la trouva pas .

 

Puis soudain un bruit fit rage dérrière Lyen .

Celui ci se retourna dès lors en sursaut et regarda dérrière lui , et vit le phénix , immense et majestueux posé à plusieur mètre de là .

 

°°°°°° Je t'attendais , jeune Lyen .

-Qui... qui parle ?

 

Lyen regarda tout autours de lui mais ne trouva pas âme qui vive à pars lui et le phénix .

Puis il compris personne n'avais parlé, le phénix s'adréssé à lui par télépathie .

 

- Désolé, noble Phénix je ne voulais vous dérangé , je me promenai par là quand ...

 

°°°°Lyen, mentir ne sert à rien avec moi , je perçois le parfun amer du monsonge aisément .

 

- Ah? ba s'est que je ...

 

°°°° Tu voulais me voir n'es ce pas ?

-Oui

 

°°°° Que me veut tu donc ?

 

Les mots s'échapèrent de la bouche de lyen avant me^me qu'il ne s'en rend compte :

 

-Je voudrais mieux vous connaitre , s'est tout ...

 

°°°° Lyen , les phénix se meurent , si tu est venu jusqu'a moi ce soir s'est uniquement par ce que je l'ai voulu .

 

- A bon?

 

°°°°Les temps changent , les phénix ne sont plus que l'ombre qu'ils étaient autre fois , le mal coexiste avec le bien même chez nous maintenant, alors que dans le passé nous étions réputé pour notre sagesse .

 

-Mais qui êtes vous donc ?

 

°°°° Peut importe les questions seront pour plus tard.. Pour l'instend seul la mission que je vais te donné importe .

Est tu prait à l'entendre ?

 

- Oui

 

°°°° Bien tu dois savoir que nous les phénix se fesont rare, notre tache est grande bien que elle soit inconnue des humains, et je le regret de te dire que tu n'est pas l'élue de nos prophétie , mais tu as le dons.

 

Le dons de voirs les choses qui sont et les choses qui furent au plus profond des coeur .

 

Tu dois passé un message à l'élue , nous nous mourrons , si notre race s'étain s'est tout une barière de protection qui s'éfondrera en dépit du malheur des hommes .

 

Tout les phénix ne sont pas comme moi , beaucoup ne pratique pas la télépathieet à vrai dire seul quelque rare d'entre nous le peuvent .

 

Mais nous ne somme n'y puissant ni omnipotent et le mal gronde au plus profond de la nuie.

Des hordes entière de phénix sont passé au coté du mal, notamment à la confrérie d'Alcénarius qui profite de la résurection des phénix pour les pervétir .

 

Bientôt nous ne seront plus que des animaux, dailleur nous ne le somme déjà seul moi et quelques autre figuront au stade d'entitée .

 

Mais bientôt pour le bien ou le malheur nous failliront, et le mal s'installera dès lors totalement dans le coeur idiot de mes frères, l'élue devra dès lors trouvé sa voie.

 

Lyen prit un temps avant d'intégré tous ce que lui dit le phénix , il se demandais me^me si il n'était pas sous l'emprise de quelque magies de mauvaise augure, mais il répondit encore presque contre son grès :

 

-Dacord je m'occuperai de cette tache , mais comment ?

 

°°°° Tu n'est ni fort , mais un fin stratège, et intéligent, la seule voie qui s'ouvre à toi ne peut être que la magie dans la mission qui est maintenant la tienne, va à Ald ruhn tu y trouvera des réponses plus concrètes ; je dois partir maintenant car sinon tu risque de ne vivre guère longtemps en ma préscence .

 

Lyen ne compris pas ce que voulais dire le phénix mais celui ci s'envola dans les air aussitôt son message délivré , lyen encore état de choc s'avança vers une marre qui se trouvais non loin de là et se regarda au clair de lune .

 

l'effet fut saisisant ces cheveux avaient grisonné , bien que son visage demeuré toujours aussi jeune , mais ce n'était pas le plus saisisant .

 

Ces iris s'étaient cerclé d'un pentacle rouge vif .

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C'était une hécatombe. Les veuves pleuraient en silence, non pas à cause d'avoir perdu leur marie. Non, ce choc là était passé. Elle pleuraient de ne pouvoir reconnaitre le corps de leur mari. Je n'avais jamais connus à l'époque de carnage de ce genre, et je n'en n'étais que plus retourné. Je ne peux énumérer toutes les fois ou j'ai vomi, en pensant aux horreurs que j'avais faites, qu'ils avaient fait et de tout ces vie et bâtiments brûlé. On trouva 20 corps. Mais on compta 30 disparus. Nous n'avions pas pus diférencer les tas de cendres des 3 phénix abatus des cadavre calciné...

A cette pensée, j'ai vomi.

Personne ne devrait connaitre ça, et eux, le connaissait chaque année...

Je vis l'homme qui était dans l'auberge. Lui aussi avait tué cette nuit. C'est lui qui avait achever le deuxième Phénix. Personne ne sut ce qui est arrivé à la troisième personne, mais on pense que le bout de cendre accrodhé à son épée était sa main. Nous étions deux héros vivant, souillé par la mort de deux Phénix, chacun hagard et perturbée. Je me mit à aproché du puissant être que j'avais achevé, et je me mis à fouillé les cendres, dans la quête de trouver ma hache. Je ne trouvis absolument rien. En plus le fait d'avoir perdus ma hache, il n'y avait pas d'oeuf. Or, un Phénix, quand il meure, à forcément le temps de laisser son empreinte sous la forme d'un oeuf. Et bien, là, non.

- Et, qui a fouillé les Phénix, ce matin ? intérogeais-je les gardes.

Comme j'avais attiré le respect de la population et de la garde, on me répondit tou de suite :

- Et bien, je pense que c'était la sage femme. Elle vit dans...

- La petite maison près de la sortie du village. L'une des rares à ne pas avoir brûlé.

- Exacte, répondit le garde, étonné, en fait, quand j'y pense, sa maison n'a famais été entièrement brûlé, des ois un peu parce que l'incendie se propageait, mais jamais parce que les Phénix la visait...

Remerciant le garde, je me dirigeait vers la demeure de notre vielle guérisseuse. Quand j'arrivis devfant la porte, je ne put l'ouvrire. Elle était vérouillé. Je toquais en disant :

- Ouvrez, c'est un ordre !

J'entendis de drôle de bruits, comme quelqu'un qui range en hâte quelque chose...

- Je vous préviens, je vais forcer la porte !

Toujours des bruits, mais beaucoup plus actifs. Je n'attendis pas, et je prit de l'élan, espérnt que les gonds étaient vieux, et je courut, frappent de plein fouet la porte.

Celle-ci se décrocha et moi, emporté par mon élan, j'allait finir ma course dans le lit plein de torchi que j'avais en partie arraché...

Je me relevais tant bien que mal, me battant avec les draps, et je vus ce que faisait la guérisseuse, maintenant immobile, me regardant en attendantson verdict. Elle avait un des Oeufs de Phénix, un autre dans une trape ouverte amménagé dans le sol.

- Alors, on fait du trafique de Phénix, Madame ?

- Ce n'est pas ce que vous pensez, je...

- Et qu'est ce que je devrais penser ? Que vous ave sacrifié au moins 30 vies pour récupérer de l'argent ? Que vous avez détruit tout un village pour de l'argent ? ET QUE CHAQUE ANNEE VOUS RECOMMANCEZ ?!

Mon ton avait letement augmenter, la rage déformant mes propos. Si j'avais eu ma hache, elle ne serait plus en vie à l'heure qu'il y est.

- Non, ce n'est pas ceque vous pensez, je...

- QUOI ENCORE ?! Vous avez essayez de m'asassiner, moi et l'autre homme, dans l'auberge, en nous droguant, la petite génie des poison ! Il me sufirait d'un geste pour vous expédiez en Enfers, et avec un peu de chance, vous retrouveriez ceux que vous y avez tué !

Je saisis un couteau sur la table, et je me retournais, ma rage bouillonant intérieurement.

- Non ! Arrêtez ! Si vous faite cela, ils ne reviendront pas ! Ils périront tous ! Ce n'est pas moi pour l'auberge, je ne voulait que les sauver ! Non !

N'écoutant que ma rage bouillonante, je ne prit pas le temps de réfléchir à ses propos. Je l'avais tué, lui coupant les deux artères qui transporte la vie... Sans le savoir, j'était devenus un boureau, exécuteur, et j'avais tué une des dernière personne qui pensait que la vie d'un Phénix valait bien de sacrifié la vie d'autrui. J'avais tué l'un der dernier véritable gardien des Phénix. Quand les gardes entendirent le cri d'agonie de la vielle femme, ils accourèrent, épée en dehors du fourreau, et quand je leur expliquait en montrant lzes oeufs pourquoi je l'avait tué, ils me crurent, et brûlèrent le corps de la guérisseuse, ainsi que les oeufs. Des cris de soufrance provenait des oeufs, dont leur occupant avait pour la première fois depuis leurs résurection, connnut la douleur. Pour moi, ce n'était qu'une traficante d'oeufs, oeufs que l'on avait brûlé, pour qu'ils ne reviennent pas aussi nombreux, et qu'avec un peu de chance, on finirait par les détruires...

C'est comme ça que je m'éguaris, perdus dans le monde de la soufrance, et, devant l'assistance, je me fis une entaille dans la main, et de mon sang je scellit le pacte de détruire les Phénix pour que des atrocitées pareil ne se reproduisent pas.

J'avais choisit, et je le savais, le monde des ténèbres et du mal, celui où ces fabuleux oiseaux sont exécuté. Mais après la nuit d'horreur que je venais de voire, rien, mais alors, absolument rien, ne pourait me faire changer d'avis...

 

Après avoir juré à voix hautes, je me mis à aider les habitants à déblayer les reste des maisons en cendre, ainsi que de couper du bois. Pendant une journée entière, je me mit à cooper et à couper du bois, sans aucunes intéruption. A la fin de la journée, érintée, fatigué, j'allais dans l'abris qui servait de taverne pour boire un coup les derniers tonneaux restant, quand un garde m'arrêta :

- Toi, le nain, notre commandant veux te voire.

Malgré l'insulte, j'acceptais, et le garde me conduisit dans le fort, empruntant un dédale de galerie, parfois sombre et humide, parfois éclairer de torches, et parsemé de tapisserie. Nous arrivâmes dans un couloir où défilaient des portes, au moins 20, et nous arrètâmes au bout, devant une porte en meilleur état. Le garde toqua 3 coups, on nous répondit, et nous entrâmes.

Ce n'était qu'un petit bureau, pas très spacieux, où une table miteuse couverte de paperasse et de livre avait été placé. Des livres de compte ouvert séchait tandis qu'un homme les remplissaient, trempant à intermitence sa plume. Au bout d'une minute, il reposa sa plume et me regarda, m'étudiant pour trouver mes failles.

- C'est bon, vous pouvez partir, dit-il au garde qui s'empressa d'obéir. Savez-vous pourquoi je vous ais ammené ?

- Non

Il soupira, se prenant le visage entre les mains. Puis il releva son visage, et il dit :

- Vous ferez une proie facile.

- Une proie facile pour qui ?

- Il y à en ce monde des forces qui n'attende que des hommes comme vous pour les berner, les attorer à eux, et ensuite, les forcer à faire ce qu'il désire de vous, ne vous considérant pas avec plus d'importance qu'un pantin. Ce que vous avez fait, de jurer la mort des Phénix, il le saura, et il vous fera venir à lui. Je ne dit pas que ce que vous avez fait étaitmal, après la nuit que vous avez endurée, du niveau légal, la tuer était justifié, et de toute façon, elle serait partit pour l'échafaud, mais d'un autre point de vue, vous savez ce que représente réelement un Phénix ? Non ? Et bien, sachez que cette vielle femme ne faisait pas de trafic d'oeuf, elle les emmenaient dans la montagne pour les laisser éclore.

- Je ne crois qu'en ce que je voie, et ce que j'ai vus, se sont des monstres assoifée de sang qui s'en sont pris à un village tout entier, et qu'ils ont rasé.

- Je ne vous raisonnerais pas, n'est ce pas ?

- Non

- Mais si jamais vous les exterminez, dans le cas où cela arriverait, vous savez ce qu'il va se passer ?

- Non

- Des forces ténébreuses s'abatrons sur toutes cette île et bien au delà. Personne ne sera épargner. L'espèce humaine, naine, elfique, orque... Tout les êtres vivant connaitrons un énorme péril. Voulez-vous vraiment voire ça arriver ?

Je ne répondit pas tout de suite, réfléchissant à ce que j'allait dire. Puis, impartiale, sans aucune rage ni tonalitée dans la voix, je répondit ceci :

- Les nains réfléchissent avec logique. Avez-vous jamais entendus un pareil désastres, que des forces aubscure se seraient déjà abatus sur notre monde ? Non ? Alors rien ne prouve que ce qu'il se dit est vrai. Comme rien ne prouve que les Phénix soient intélligent. Celui que j'ai tué hier, n'était pas intelligent, il se comportait comme une bête apeurée qui tente le tout pour le tout pour se sortire des griffes de son prédateur. Ce que je vois, moi, c'est que les Phénix tuent et détruise la vie sur leur passage, décimant et mettant en péril l'éxistence humaine, ect... Et quand ils seront tous exterminé, si jamais ce que vous dites est vrai, et que des forces aubscurs s'abbatent sur nous, et bien, je les affronterais comme j'aurais affronté les phénix auparavent. Surtout, il m'est dur de prendre en compte l'avis d'un lache qui est resté enfermé dans la pièce la plus enfouies du fort, en priant les dieux pour que sa misérable vie soit épargné, pendant qu'il envoyait à la mort les habitants et les gardes.

Sur ces mots, je partis de la salle, retrouvant progressivement mon chemin, et je retournais dans le village. Mais quand je sortis du fort, un des gardes me donna une bourse, essouflé, de la part du commendant, pour avoir tué un Phénix et découvert et détruit un trafique d'oeufs. J'allais refusé, mais le garde était déjà partit, et j'avais besoin d'une armure et d'une arme.

Après de nombreux marchandage, je sortit de l'armurie miraculeusement intactes, et j'admirais mon équipement nouveau. J'avais acheté une hache que j'avais nommé Tueuse dont le manche avait été finement ouvragé et équilibré, facilement maniable à une main, et la tête à double tranchant aiguisé avec soin de la hache avait été recouverte d'une finie couche d'argent, me rendant avec cette arme capable d'affronter n'importe qui ou quoi.

J'avais auss iacheté une armure, pour mieux résister aux coups, ce qui était indispensable dans l'aventure sur laquelle je me lançais. Malheureusement, après maintes essais, je dus en conclure que de toute façon, les armures humaines étaient beaucoup trop grande pour moi. Alors, comme j'allais partire, dépitée, le forgerons sortit l'une des nombreuses expériences de feu son père, qui n'était autre qu'une armure pour nain, à ma taille. mais comme ce n'était que des essais, elle n'avait pas été très ouvragés, grssière, taché et légèrement rouillé à certain endroit, mais cela pouvait encore s'arranger, si l'on savait entretenir une armure, comme moi. Mais surtout, je l'avais prise aprce qu'elle était résistante. Quand je sortit de l'armureire, dans ma boite de féraille, je ne pouvais le nier, le beautée de Tueuse jurait avec la laideur de mon armure. Je me promis de m'acheter une armure convenable dés que possible... J'aperçut l'homme de la taverne, assit sur la même souche que moi attendant l'arrivée des Phénix. Je m'approchait de lui, et il ne dit mots ni semblat vouloir m'addresser la parole. Je lui addressai la parole :

- Je vais partir demain de cette ville pour le Nord.

Il ne me répondis pas, regardant un espace que personne ne pouvait voir

- je partirais vers Ald'ruhn, dans l'intention de m'y reposer quelques jours et...

- Je ne viendrais pas avec toi, m'intérompit-il, mais c'est ce que tu contait dire, n'est ce pas ?

- Oui

- Je me suis trompé sur ton compte. Je pensais que tu avais, quand je t'ai vus, le coeur bon, et je voulais voire comment tu réagirais quand je les aient vus arriver. Quelle coïncidence, tu ne trouves pas, devoir arriver les Phénix le jour où je t'ai trouvé, alors que je les attendais depuis des mois ? Mais au moins, j'aurais vus ce qu'il y avait à voir, c'est à dire un être assoifé de vengeance.

- C'est toi qui a pris le dernier oeuf, n'est ce pas ?

- Effectivement, pour le sauver j'ai tué un phénix et pris son oeuf, mais tu ne pourras jamais le prouver. Ce que tu a fais, de jurer avec ton sang d'exterminé les Phénix, tu le regrettera. Je te le ferai regretter. Quand nos route se recroiseront, je te turais, aussi simplement que ça. Il y a beaucoup de monde qui veut voire les Phénix survivre, moi y compris. Et si tu n'avait pas fouillé la maison de la guérisseuse avant moi, deux autres Phénix serait en vie, à l'heure qu'il est. Il se leva. Maintenant, IL te suivra, et quand il te trouvera, nous serons officiellement enemis.

Et il partit dans la ville, se fondant dans les ombres des bâtiments...

 

Spoiler : cliquez ici pour voir le message
J'en peux plus ! n'écivez pas si vous ne le voulez pas, mais moi, je peux plus écrire. Et, Glenwind, pourais-tu changer légèrement ton texte ? Sinon, quelqu'un d'autre pourais le faire ?

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Shiamr   

Shiamr partit en direction de l’auberge. Il décida d’aller faire un tour au parc a guar. Guetop attendait impatiemment le retour de son maître quand shiamr entra dans l’enclos.

Bonjour guetop, tu as réussi à t’en sortir vivant, les phoenix ont épargnés ta vie, tu peux les remercier.

 

Grrr, émit guetop. Il venait de dire qu’il était heureux de revoir son maître, en laguage guar.

 

Nous allons rester deux jours de plus à Caldera, pour acheter des vivres et de l’équipement, puis nous partirons vers ald’ruhn, notre prochaine destination. J’aimerais savoir ce que ce nain a dans le ventre, et dans la tête.

 

Shiamr dit au revoir à guetop et alla s’entraîner au lancer de dards venimeux derrière l’auberge. Le lendemain, l’assassin décida d’aller s’acheter des armes à l’armurerie du coin.

Bonjour armurier, j’ai vu que tout le village aide a sa reconstruction, pourquoi pas vous ?

 

Et vous, que faites vous là ?dit l'armurier avec de la colere dans les yeux. Votre armure noire est signe de malheur, et votre guar fait peur aux nôtres. Depuis que vous êtes à Caldera, les malheurs se répandent. Sans parler du nain, tout aussi étrange que vous, heureusement qu’il est partit.

Rassurez vous, je pars demain et pour ce qui est de mon guar, je lui en parlerai.

En attendant, qu’avez-vous à me proposer ? répondit shiamr avec un grand sourire caché par son masque.

 

Je refuse de faire affaire avec vous, partez ou j’appelle la garde !

 

Je pense que la garde sera ravie d’apprendre que vous vendez des armes enchantées illégales.

Sans compter que je les ai aidé avant-hier lors de l’attaque des phoenix, d’après vous, qui croiront ils ?

 

Que... Comment étés vous au courent pour les armes ?

 

Simple, sur toutes les armes enchantées légalement, un sceau de l’enchanteur est posé sur la lame, et je ne remarque aucun sceau sur celles-ci, j’en déduis qu’elles sont illégales.

 

L’armurier tandis une dague, des shurikens, et des dards à shiamr qui les accepta avec un petit sourire.

 

D’accord, tenez, maintenant partez ! Et ne prévenez pas les gardes pour les armes s’il vous plait.

 

Je fermerai les yeux. Merci et bonne journée cher armurier.

 

 

Shiamr repartit ranger ses affaires et alla voir guetop.

 

Nous devrions partir aujourd’hui plutôt, le temps est favorable. Par contre, nous rattraperons le nain très rapidement, mais nous laisserons un écart entre lui et nous, de façon à ne pas se faire repérer.

 

Guetop répondit dans un petit hurlemant.

Shiamr scella guetop et partit sur son dos en direction d’ald’ruhn.

**

*

Shiamr commençai a avoir des crampes, monter sur un guar trop longtemps, meme avec une scelle, et meme avec de l'habitude fesait mal à la longue.

 

Arretons nous ici, je vais preparer quelques plats avec ces plantes, je ne te promet pas que sa va etre bon, je n'y connait rien en alchimie.

Si nous rencotrons le nain, je me demande ce que je vais lui dire, "je m'associ avec toi" ou bien " meurs sale nain", j'hésite, et puis, je pourrai m'associer avec lui, dire aux phoenix que c'est une ruse, et le tuer dans son sommeil, ou par un poison, je verrai bien.

 

Shiamr et guetop mangèrent leurs pousses de kanet et de bruyeres broyés, puis guetop se reposa. Mais shiamr veillait, au cas ou un éclaireur kwama venait deranger son repos.

Tout à coup, un cris se fit entendre, un cris roque, emplis de rage, et de vengeance, le cris d'un nain en plein combat.

Shiamr se leva eet prit sa dague et ses shurikens.

 

Guetop, ne t'inquiete pas, le temps est venu de faire affaire ave ce nain. Il a du se reposer en meme temps que nous, derriere la colline, et un monstre a du l'attaquer, je revien tout de suite.

 

Le guar emit un grognement aprobatif et se ralongea.

Shiamr couru en direction des hurlements bestials.

Quand shiamr arriva, il vit le nain en plein combat contre une énorme créature en feu. Des éclats de lave volaient de son corps, il brulait l'herbe sur laquelle il marchait. Un vrai démon de braises.

Shiamr sortit son épée courte enchantée et fonça derriere la créture de feu. Le nain abatit sa hache au moment ou shiamr attaqua avec son épée empoisonée.

L'atronach ne put éviter les deux coups, celui du nain était fatal et celui de l'assassin l'acheva.

Jolie coup camarade.

 

Le nain, rangea sa hache, et commença a ouvrir sa bouche quand...

 

J'ai un marché a te proposer, j'ai une énorme dette a faire payer aux phoenixs, je voudrai t'accompagner dans ta quete, mais je ne veut pas que l'on tue des phoenix, pour des raisons que je refuse de te divulguer.

 

Je ne serait jamais amis avec toi, part tout de suite, ou meurs.

 

Ok, deuxieme solution alors.

 

Shiamr sauta sur une branche d'arbre, puis disparu dans un amas de fumée.

Le nain tourna autour de lui à la recherche de l'assassin.

Shiamr apparut dans le dos du nain, avec un kunaii sous la gorge.

Tu bouge et je te tranche la gorge, sale petit imbecile.

 

Essaye, et je te jure que je te fait gouter à ma hache!

 

Je ne compte pas te tuer tout de suite, je vais jouer avec toi, je te laisse traquer les phoenixs, mais sache que je te surveille, a chaque faut pas, et a chaque meurtre de phoenix, je te couperai un membre avec mon épée.

 

Puis shiamr partit vers le campement ou se trouvait guetop.

L'homme en noir reveilla son guar, et lui dit qu'il devaient retourner d'urgence à Caldera.

 

Nous avons du boulot guetop, et pas des plus simples.

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Cet incapable m'avait suivit. Cet idiot voulait jouer avec moi. De rage de m'être fait surpendre, je me mit à élaboré des plans tous plus cruelle et viscieu les uns que les autres, n'ayant pour autre but que de me "défouler". Mais un nain ne devrait jamais faire ça, et sitôt pensé, je me mit à réfléchir à quelques chose d'utile, quelque chose que je pouvait exploiter. Il y a toujours quelques chose à exploiter. Il faut dire que de jurer avec mon sang et donc sur ma vie, ce n'était pas très judiscieux. D'ailleur, sans le savoir, j'avais conclus un pactes avec des forces malveillantes, me rendant plus puissant et pourtant faible : Si jamais je refusais de tuer un Phénix, je risquais de mourir. mais je ne le savais pas, et je ne sentais pour l'instant aucun changement en moi, et c'était là le piège, car si jamais je venais à refuser d'en tuer un, sans que je ne sache que je risquait de mourir, qui sait ce que j'aurais pus endurire...

Plus tard, j'apprit que l'on appelait cela "le sceau de NEMESIS". J'ignore pourquoi ce nom. Ce que je sais, c'est qu'il est utilisé par les mages avec l'aide d'une formule, et qu'il est de temps en temps invoquez par les êtres dénués de magie, mais ayant une soif de vengeance incomparable. Ce fut mon cas...

mais tout cela, je ne le sus que bien plus tard...

Puis, lentement, mos piège m'est apparus, cruel, facile, et pourtant, si odieux qu'il anéantirais cet assasin une bonne fois pour toute...

Mais je ne pouvais pasle réaliser seul. Il fallait que quelqu'un m'aide... Quelqu'un de puissant... L'assassin avait parlé d'une personne, sans la nommer, et quand il me trouverait, nous serions ennemis. Il fallait que je le trouve, et le plutôt serait le mieux m'étais-je dit ! Je partis donc, sachant qu'un assassin jouant avec moi me suivait, pour la ville de Ald'ruhn. Si l'on voulait simplifier la tache à mon mystérieux commenditaire, parir dans l'urbanisation serait le mieux. J'entendis un cracement sec, mais ce n'était qu'une brindille... Il voulait jouer avec moi, et bien, il n'allait pas être déçus... Il allait comprendre que de prédateur, il allait très bientôt passé en proie...

Lentement, dans la fraicheur de la rosée du matin, je m'assis sur une souche d'arbre, admirant la beautée du levé de soleil. Le ciel d'un bleu foncé, virant sur le violet, s'éclaircit lentement, passant progressivement au rose, laissant avec lenteur le magenta et les couleur chaudes, envahir l'espace, tel de flammes. Mais cette enfer divin ne resta pas plus de quelques minutes avant que le bleu ne revienne, laissant dans le ciel lavé quelques rares et minces nuage. Ca allait être une belle journée. je me redressais douleureusement, mon dos ankilosé par cette nuit à dormir allongée dans l'herbe, et je rallumi mon feu.

Après maintes efforts, il se ranima, réchaufant mes mains bleuis par la fraîcheur de la nuit. Et après avoir savouré cet instant de chaleur qui m'engourdis, je me résignis à me lever, mes pieds nus dans l'herbe dégageant une odeur nauséabonde. Au moins, sa protégeais des ennemis... Je pris ma paire de botte craseuse et boueuses tandis que je faisait cuire une sorte de petit oiseaux, doté de quatres ailes. Vus la morphologie de l'animal, je concluai que la bête n'était qu'un petit. je me demandis la taille de cette animal adulte. Il ne manquerait plus que la région abondede ce genre de bestiole... Je prit donc mes bottes tandis que le reste de la créature que je n'avais pas entièrement mangé grillais. Après un examain rapide des dégats, je me mit en quête d'herbe, mais la région n'étant pas abondante de cegenre de chose, je ne pus que prende du sable, et de frotte pour que la crasse s'enlève. Après plusieurs minutes de travail intense, je remit mes bottes, atteignant progressivement l'odeur de mes pieds,et je regardis le résultat d'un oeuil peu amène : le résultat était mieux, mais je ne resplandissais pas non plus. Après avoir mangée la viande qui avait rotie (une viande délicieuse, un peu parfumé, et très tendre sous la langue), je me mitt à essayer de nettoyer mes vêtements. Je nus aucun résultat positif avec le sable, à part que maintenant, ça me grattais.

Aprsè avoir pesté à voix basse, je prit mon armure qui était resté dans l'herbe, à se dégrader dans la rosée matinale... De toute façon, elle ne pouvai pas être pire en aspect exterieur. Je chargis les pièces une par une dans mon sac à dos, qui me sciait litéralement en deux, puis, après avoir étains mon feu avec le sable environnant, je me mis en marche pour Ald'ruhn, qui n'était qu'à une heure de marche, et on pouvais apercevoir déjà son crabe géant. Je n'était pas reluisant, mais je ne ressemblais pas au mendiant du coin. Enfin, je l'espairais... Ma hache acroché à la ceinture, sur le qui vive, me promettant d'aller chez un tailleur pour changer mes vêtements crasseux et odorant. J'entris dans la ville, en gromellant contre un marchand de guar et un jeune homme assit avec lui, et je pénétrais dans la ville grandiose qu'tait Ald'ruhn...

 

C'était définitif, je préfairais la mine...

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**

*

 

Au petit matin des bruits de sabots résonnés sur le sol caillouteux et mouillé qu’emprunté une charrette.

Cela faisait déjà plusieurs heures que Oveanne et Paxton s’étaient enfui du village natale de celle-ci, il avaient fini par trouver un charrette d’un paysans et moyennant quelques Drake celui-ci à finalement cédé au avances de Paxton sur le prix de son véhicule et de son cheval.

Ils avaient dès lors pris les petits chemins utilisés rarement par la populace, et roulé ainsi sous la pluie battante d’un orage menaçant.

Le cheval qu’ils avaient attelé n’était plus de sa première jeunesse mais au moins il était endurant et Paxton n’avais miraculeusement pas eu à se plaindre.

 

Maintenant ils avançaient sur le sol boueux et caillouteux dans les steppes environnantes.

 

-Oveanne ?

-Oui ? Répondis une voie frigorifiée par la pluie

-Dis moi maintenant, aurait tu une idée sur l’identité de ces gens ?

-Pas vraiment, mais il semblait me cherché pour une raison que j’ignore, et vu ce qu’il ont fais à mon village je n’ai finalement aucune envie de le savoir.

 

Moment de silence.

La pluie jouée sa mélodie monotones sur la route indécise qu’ils empruntaient, l’orage gronda comme un signe de mauvais augure au loin on voyait un foret d’épineux sombre et froid à la fois, puis Paxton dit :

 

-Et cette Dague ? Comment elle parvenue en ta possession ?

-Je ne sais pas..

-Oveanne.

-Oui ?

-Arrête de me mentir, je le sens d’ici alors pour une fois dis moi ce qu’il s’est vraiment passé.

-A vrai dire s’est plutôt étrange et …

-Raconte.

 

Oveanne finit finalement par cédé et lui raconta son rêve et l’étrange oiseau qui fit son apparition dans son rêve.

 

-Oveanne depuis quand fais tu ce rêve ?

-Je ne l’ai fais qu’une seule fois.

-As-tu déjà vu un phénix Oveanne ?

-Non s’est quoi ça ? Une nouvelle race de chien de nix ?

-Non, est un phénix est une créature plus vielle même que le monde et incarne la puissance du feu et de la renaissance, à la fin de leur vie ils s’immolent d’eux même par les flammes pour finalement renaître de leur cendre.

-Mon étrange oiseau serait donc un phénix ?

-Sa m’as tout l’air …

-Mais comment se fait il que j’en ai rêvé alors que je ne connais même pas ces oiseaux ?

-Sa je n’en sait rien, mais ton rêve n’as pas l’air ordinaire.

-Comment ça ?

-J’ai jamais vue une dague transpercé l’étoffe des rêve pour venir se figé à coté de ta nuque.

-Je, je, ne sais pas.

-même dis moi as-tu une idée d’où il nous faut allé dorénavant parce que l’as on se dirige vers le nord.

-Je ne sais pas ; as-tu une idée d’un nom d’une contré qui commencerait par Vvarde. ?

-Vvarde ? Cela me dit quelque chose, Vvar.. vvar , cela ne peut que être de l’ancien dwemerique.

-De l’ancien dwemerique ?

-Oui , il n’y à qu’une seule contré que je connaisse et qui commence par ces lettres, Vvardenfell la cité de l’enclume, s’est un vaste île situé dans la mer Fantôme en Morrowind...

 

Le tonnerre gronda et vin frappée le sol non loin de là..

 

-Sombre sang ! Il n’est pas passé loin celui là ! Et tu sure de ce que tu fais ?

-Oui. Répondit elle pas très rassuré …

-Tu sais quoi ? Je crois que l’on va prendre le bateau on ira plus vite, à moins que l’on tombe sur un Kraken.

-Sur QUOI ?!!!

-Sur rien sur rien …

 

Paxton s’étant rendus compte de sa bourde força le pas de son cheval il avaient intérêt as faire vite …

 

**

*

 

Lyen venait de quitter tôt le foyer de son père, il avait craint que celui-ci ne veuille le laissé prendre sa route ou pire qu’il ne le crois pas …

Mais il s’en été révélé en fait tout autre, celui-ci s’en était relevé au contraire extrêmement compréhensif et l’encouragea bien au contraire.

« Tu dois prendre ton envol mon fils et il te faudra pensé un jour à vivre ta vie seul et de crée ton propre foyer ; fais confiance au phénix et va » 

Tel avait été les dernières phrases prononcé par son père avant son départ, et maintenant il parcourais les terres en direction de Ald’ruhn.

Mais il lui fallait aussi trouvé sa guilde des mages, car s’est ce que voulais le phénix qu’il utilise ces qualités.

Il aurait pus choisir de faire sa propre formation chez les Telvani mais il ne les apprécié guère avec leur air arrogant et leur dédain de la plèbe.

 

Il se souvint que il y à moins d’un an, un telvanni était passé dans son village, il était semble t’il à la recherche des ruines deadriques les plus proches, mais lorsque celui-ci s’ajourna à la taverne pour une nuit une malheureuse servante trébucha et renversa tout son cognac de cirodil sur sa robe.

Dès lors celui-ci furieux invoqua un galopin en guise d’avertissement, et celle-ci se vit persécutée par le galopin.

Tel était les telvanni pleutre et tellement arrogant qu’ils font le sale boulot à des deadra …

Non. Lyen avait soif de savoir, il voulais apprendre comprendre le monde dans son intégrité et pouvoir y joué son rôle.

La magie semblais là chaude et doucereuse à l’attendre qu’il daigne enfin comprendre comment la capté lui ouvrir le passage et enfin s’en servir.

Le pentacle de ces iris avaient disparus, il ne savais pourquoi mais il lui faudrait le demandé à son futur maître, mais encore faut t’il qu’il le soit !!! Ce qui n’était cher peu gagné.

 

Mais le phénix avait semblais voulu qu’il fasse sa formation à ald’ruhn, il lui faisait confiance car après tout il avait aussi une mission.

Lyen parcourais les terres depuis le matin avant même que le soleil ne soit levé, maintenant il était haut dans le ciel, et il lui manquait encore beaucoup de route.

Puis il finit par rencontrer un marchant de guar sur la route qu’il venait d’emprunté.

 

Celui-ci visiblement à la recherche d’une âme à qui parlé ce calca à sa hauteur et lui parla.

 

-Holà mon gaillard que viens tu donc faire sur nos route de si bon matin ?

- Je viens cherché des enseignement à Ald’ruhn.

- Et quel genre d’enseignement vins tu donc y cherché jeune gens ?

- Cela ne regarde que moi et les guildes Monsieur.

- ha ! Les guildes … Tu sais tu n’est pas le premier gamin que je vois sur les routes avec la ferme ambition d’entrée dans une des deux guildes qui y sont.

- Mes motivations ne regardent que moi, mais je pense que j’ai peu être ma chance dans l’ambition qui me guète.

- Ba à quoi bon ! Regarde toi tu est à peine capable de porté tout ton barda sur le dos, alors une épée tu pense …

 

Le vieux marchant semblais d’avis à ce que Lyen est pour but d’entrée dans la guilde des guerrier, mais Lyen ne le démenti pas.

 

-Je me débrouille.

-Hum tu fais comme tu veux, mais que fais tu dont à te baladé tous seul sur ces routes à cette heure ci ? S’est une folie !

-Et pourquoi donc ?

-Ces route son souvent la proie de brigands en tout genre, assassins, voleur de bas étages, mercenaires…ici cela ne manque pas tu sais.

-Alors pourquoi utilisé vous donc ces routes ?

 

Le marchant surpris ne s’attendais pas à cette réponse et s’esclaffa bruyamment.

 

-Ha ha ha ! Peut être parce que je n’ai pas le choix petit, tu pense bien qu’avec tout mes guar je puisse utilisé les sentiers ? Non se serait impossible à géré, et de toute façon cela reviens au même je suis bien trop bruyant de toute façon.

-Je vois.

-Allez viens petit ! Monte ! Je me dirige moi aussi à Ald’ruhn, et je dois avoué que un peu de compagnie qui parle un temps soit peu dans ma langue ne me fera pas de mal !

 

Lyen monta dès lors dans la carriole tirée par des guar, le troupeau étant au alentour.

 

-merci

-De rien petit, avec un peu de chance aucun ennuie ne nous arrivera et nous serons dès ce soir à Ald’ruhn , tu verra on avance vite avec nos petits guars ..

 

-Comment s’est Ald’ruhn ?

-Tu ne connais pas Ald ‘ruhn ?

-Non

-Bâ tu verra , on s’y plait s’est une ville rédoranne , elle est plutôt grande jolie et chic .Et depuis que le Nérévarine nous as débarrassé de dagoth ur , les tempêtes se sont arrêté et elle à repris sa splendeur d’antan , même si le paysage reste toujours très sec et désertique …

-J’ai hâte de voir ça !

-Moi aussi, j’ai deux trois bourses à remplir , allé allons y !

 

**

*

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- Comment ça ?! Cette... Loque pour 30 pièces d'or !

- Oui monsieur,me répondit le marchand à bout de nerf, et si vous n'apréciez pas mes vêtements, je vous demanderais de partir, si vous ne voulez pas que j'appelle la garde.

Finalement, après de long quart d'heure à négocier une bouchée de pain, j'achetit mon change pour 20 pièces d'or. Il ne me retait qu'à peine de quoi payer une auberge pour la nuit, ainsi que le repas. Il fallait que je trouve un emplois, ou LUI très vite. D'ailleur, je ne savais même pas ce qu'il pouvait bien me vouloir... Je savais seulement que je devais le retrouver dans les plus brefs délais si je ne voulais pas avoir des ennuis. Car j'étais exposé. Très exposé à vrai dire. J'étais entre le marteau et l'enclume, sauf que le marteau voulait m'éliminer avant que je ne me refuge derrière l'enclume. En d'autres termes, j'étais dans une facheuse posture si je ne le trouvait pas.

Après avoir payé le marchand qui soupira d'aise d'en avoir enfin finit, je partit voir l'armurier, espérant qu'il serais sympathique, et qu'il pourrait me prêter sa forge pendant la soirée, que je restaure un peu ma piètre armure, que je craignais se décomposer dans mes doigts la prochaine fois que je la mettrais. Je sortit dans l'ariditée de l'endroit, qui, curieusement, avait, de la fraicheur du matin, apssé à un temps couvert et sec. Comme quoi même les nains peuvent se tromper. J'avancit d'un pas tranquil parmit les habitations remplis de dunners, ces elfes à la peau si étrange. Certains qui aisaient des aller-retours du marché à leur hutte, ramenant des paniers remplis de victuailles étrange, dont beaucoup de la même chair de l'animal que j'avais mangé au matin, me regardèrent avec insitance, voir une pointe d'insolence dans le regard. J'entendis des quolibet sur mon passage, ainsi que des insultes. Mais je ne pouvais répondre à l'insulte : je n'étais pas dans vraimet dans l'endroit souhaiter pour provoquer en duel, à moins que je ne voulais être mis en pièce par la foule qui n'attendait qu'un pas de ma part pour se jeter sur moi. Il faut dire, les nains ett les elfes se haissent depuis des millénaires, alors, il ne fallait pas s'ettoner que l'on me recoive de la sorte. De plus, ces vêtements,je suis certain que si je n'avais pas été un nain, j'aurais pus en tirer 10 pièces d'or. Mais bon, je n'avais pas trop le choix. Je regardais en findant de ne pas voir les regards hostil qui se portaient à ma rencontre les batisses dans laquelle couchaient tout ces gens. Je ne pus m'empêcher de frissoner, je ne serais vraiment pas à l'aise de dormir dans la carapace d'un monstre mort, que ces gens avaient utilisé, fainéant, pour se loger plutôt que de construire leurs propre maison. En plus, l'ambiance général, que du sab le à perte de vus, le temps maussade et pourtant aride et lourd, desséchant la gorge à chaque fois que vous repiriez, ne me plaisait pas du tout. Vivement que je ne sois plus là. Après démélés mes habils d'un Trama, plante très épineuse, sous les rires dela foules, le drame arriva. Om me lança un projectile.

Tout d'abord, je ne compris pas pourquoi la fouleétait morte de rire, puis, en me retournant, je pus constater qu'un jeune elfe, à peine vingts années derrière lui, avait pris un oeuf dans un panier que trimbalait une vielle elfe, et me mettait en joue. L'oeuf, d'une grosseur anormal à mon avis, fit un vol planné, et atterit sur mes vêtements neufs et propres, les recouvrants d'une pâte jaunâtre et visqueuse.

Je ne pus contenir ma rage. Je ramassis une pierre par terre, et je la lui lançit au visage, où, d'après le craquement, je lui avais cassé le nes. Un flot de sang se deversa sur son visage, tandis qu'il tentais d'arrêter le saignments en se prenant la tête à deux mains. La foule, stupéfaite, commença à enfler dangeureseument, s'approcvhant de moi meurtrièrement. Les gardes qui regardaient la scène amusé commencèrent à s'activer, non pas qu'il craignait pour ma vie, non, ils craignaient plutôt que je n'emporte avec moi un elfes ou deux. Quand je comprid ça, la rage déforma mes traits, et, en agitant, menaçant, ma hache dans un siflement, fendant l'air majestueusement, je m'élançit à travers la foule, me préparant à livrer un rude combat pour gagner les portes de la ville. mais, à mon grand étonement, toutes les personnes rassemblé autour de moi commencèrent à paniquer de me voir ainsi armé, et s'enfuir en poussant des cris, les gardes, sur la défensive, avait dégainber leurs armes.

- Le nain, tu range cette arme tout de suite, ou nous te tuons ! Il n'y aura pas de deuxièmes avertissements !

Bien sur que je savais qu'il n'y en aurais pas ! Je n'était pas nés de la dernière pluie ! Cet elfe était un jeune mal qui était pret à tout pour pouvoir assouvir ces désirs de grandeurs. On sentait très nettement dans son ton qu'il avait hâte que je refuse, et qu'il m'affronte pour ensuite me tuer, et soi disant devenir célèbre. Comme la jeunesse elfes était bête et stupide ! Personne de censé n'aurait afronté en duel un nain, voyons ! J'allait refuser de jeter mes armes, pour lui coller une raclée, voir le tuer, Mais une petite voix dans ma tête me murmura que cela allait m'ammener que des ennuis, et qu'il était préférable que je ne fasse rien. A contrcoeur, je lui obéit, lachant avec dédain et frustrations ma haches dans le sable, où elle resta figée.

- Très bien, maintenant, tu sais ce qu'il va t'arriver : sois ta l'argent pour nous payer, sois on t'emmêne en geole. Alors ? On sentait dans sa voix qu'il était déçu, et l'(envie de lui mettre une raclée qui aurait calmé ses ardeurs me démangeait : voilà comment on éduquais un elfe bourgeois : on lui faisait croire qu'il était le centre du monde, et soit il le devenais, et c'était tant mieux pour lui, soit il trouvait sur sa route quelqu'un de plus fort que lui avec personjne pour le défendre car se sera penser trop puissant pour avoir besoin d'être protégé, et il se retrouve mort ou preque, vidée de toute sa vanitée.

Pitoyable.

Je payis la somme que je devais, c'est à dire vingts pièces pour menace à autruis, violence, ect...

Bref, des âneries. Et il me dit de prier pour que je ne sois pas mené en justice par l'elfe qsur lequel j'avais lancé une pierre. Malaxant ma rage, d'une humeur massacrante, plus le sou, je me mit à une table à l'écart du reste de l'auberge, la seule qui n'était pas remplis d'elfes.

Arpès avoir bus plusieurs bierres offertes par on ne sait quel ivrogne, je vit arriver un des leur.

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Glenwind   

Paxton et la jeune femme continuére leur route plusieurs jours, plusieur fois ils durent s'arréter a cause de l'Orage ou de le Grele.

Paxton commencais a perdre pacience de ne pas voir le port ou ce trouver le bateau qui les menerés en Morrowind, cette terre dont sont grand pere parler temps.

 

Plusieurs fois ils crurent voir une de ces choses sanginaires, mais jamais il ne l'avais vue clairement, ce qui leur laissé un doute.

-Pfff j'en est mare... murmura Paxton.

-Pardon ?

-Nom rien, je me disé juste, que va t on faire une fois en Morrowind, sans argent, sans foyer...

-je n'en sais rien, on vera la bas, peut etre qu'en travaillant un peut, nous aurons de quoi payer deux chambre dans une auberge.

-Mais en attendant ditent moi, pouvez vous me decrire votre reve de nouveau, voir si un detail ne m'as pas échaper.

 

C'est ce qu'elle fit, mais paxton ne trouva rien de nouveau dans ce que venait de lui raconté.

Il ce mit a reflechir en silence.

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Shiamr   

Shiamr était sur la route de retour vers Caldera, seul, ou du moins, avec guetop.

 

Je me demande si ce vieux chnoc voudra bien nous aider...

Tu devrai plus souvent me parler, je suis capable de te comprendre tu sais...

 

Je sais... mais ce n'est pas une raison, la derniere fois que je t'ai conseillé, on a failli mourrir...

 

Je n'aime pas que tu parle de ce qui c'est passé il y a deux mois, c'est du passé, on ne revient pas sur ces choses là.

 

Tu as raison, tu voulais me dire quoi?

 

Je voulais te dire que ce vieux chnoc de "patte blanche" ne voudra pas nous aider et qu'il nous demandera encore de faire une dizaine de quete avant qu'il dise ce qu'il a a nous dire!

 

Pas forcement, si tu lui explique ce qui se passe, il va te donner des renseignements, c'est sur!

 

Nous verrons bien une fois arrivés làbas, en attendant, je vais me reposer.

 

Tu veut qu'on arrete?

 

Non, sur ton dos...

 

Tu es fou! jamais! tu m'entend! jamais!!

 

dix minutes plus tard, shiamr dormait sur le dos de guetop, qui gromelait des choses incomprehansibles.

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Lentement, après avoir bus quelques bieeres dans cette taverne sans vergogne, je vis arriver l'un deux. Grand, le visage dissimulé dans l'ombre d'une capuche, il s'assit avec deux pinte devant moi.

- Bien le bonsoire, monsieur, désirez-vous une bierre ?

J'acceptait averc joie, ma tête se vidant progressivement de ses ennuis. Après avoir bus trois gorgées de bierre, et l'équivalent d'une sur ma barbe, il me parla à nouveau, sans qu'il n'ait touché à sa propre chope. A vrai dire, il ne faisait que a faire tourner sur elle même avec un air d'ennuis.

- Alors, mon bon monsieur, voulez vous que je vous parle de lui ?

Là, malgré mes nombreuses bierres avalé, une sonette d'alarme se déclencha. L'homme ne comptait sans doute qu'elle ne se déclencha pas, étanbt donné le nombre de doses d'alcool que j'avais ingurgités, mais s'était sans compté que j'était un nain très résistant, plus encore que la plupart,dus au fait que j'avais été bûcherons. Mais comme peu de gens connaissait les nains, il ne se méfiait pas vraiment sur le sujet...

- Que me voulez-vous ? dis-je en le regardant froidement par dessus ma chope.

L'homme, dont le métié d'assassin (sa tenus sombre et parsemé de tahce dont mieux ne valait pas connaitre l'origine) faisait nettement évoluer la perspicacité (ou bien, l'asssassin ne vivait pas très longtemps) et il dus comprendre dans ma voix que je n'était pas tout à fait ivre, car il me répondit du regard, la faible chandelle dégoulinante éclairant ses yeux avec une lueure étrange, voir maléfique :

-Et bien, suivez moi, maître nain.

Je me levais, l'homme aussi, et tandis que quelques elfes qui avaient un peu abusé de la boisson commencaient à chanter debout sur la table, nous partîmes dans la fraicheur de la nuit, fraicheur bien évidamment sèche...

Nous avancions, dans la brise sèche de cette soirée, enluminée par des centaines d'étoiles dans le ciel, tandis qu'un ivrogne (de bien sur, nordique) avançait en zigzag, renversant sa chope à chaque fois qu'il frappait un mur en carapace. Dans la pénombre de la nuit, il parvint, malgré son ivresse, à nous aprecevoir, et il nous apostropha d'une voix bourrue :

- Vous...hips... vous... avez pas vus... ma bouteille ? Je... je...hips...suis sur de l'avoir...mise là...hips !

Ce n'était qu'un ivrogne. Un modeste ivrogne. Et pourtant, dans la folie que l'alcool lui transmettais, missionaire de Shéogorath, il fut l'homme le plus lucide que jamais je ne rencontris, le seul qui ne rêvasse pas de tuer par cupiditée...

Mon infomateur se raprocha silencieusement de l'homme, et, sortant avec habilitée une dague, avec une précision de maître, ne faisant frotter la lame contre sa couroie, poignarda l'ivrogne avant que je ne puisse réagir, visant avec élégance le coeur, tuant d'un coup, sans cris de soufrance, ni éclabousures de sang abondante.

- Mais... Pourquoi l'avoir tuer ? ne pus-je que demander, agare.

- Il attirait l'attention sur nous, fit-il sans aucune émotion dans la voix, seulement une placitude monotone de l'habituel acte fait avec le soin minutieux de l'usurier qui empoche l'argent sans le moindre remord.

C'était son métié. Il ne sauvait pas les gens, il les tuais. Que les phénix détruisent ou pas l'humanité l'importait peu, tant qu'il étit payé en retour. Je me mis à haïr ce genre d'individus.

Au fond de moi, je savais que des vies innocentes devait être sacrifiées, c'était les victimes de la guerre, disait-on, mais tuer un ivrogne car il aurait pus, dans le cas improbable ou des agents ennemis auraient été dans le secteur, les alerter m'insuportais.

J'étais écoeuré.

- Parton, avec que d'autres ivrognes armé de bouteille et de pancarte ne nous fasses réveler, lui dis-je sèchement. Si il eut compris le ton ironique dans ma phrase, il ne s'en formalisa pas. Il devait me proteger, pas me tuer. Pour l'instant.

Cette réflexion me fit frissoner, fait peu étonnant dans la fraicheur de la nuit, et je resseris ma prise sur ma hache. Nous avancâmes dans la rue, que quelques gardes surveillaient pâteusement, se redressant soudain quand leur supérieurs passait. Nous finîmes par arriver devant un pub, un établissement peu reluisant, que la crasse et la saleté semblait dissimulé du reste de la ville.

Pendant que nous marchions vers la porte, peu acceuillante, avec ces taches sombres dans les coins, je remarquis que les fenêtres, poussiéreuses, n'avait pas été nettoyé depuis longtemps, et que des tonneaux, bâtit dans un bois jadis résistant, gisaient, écartelé, les morceux de bois et de nouriture fesandé éparpillé sur le sable. L'odeur qui s'en dégageait était insoutenable, oppressante, rendant l'air irrespirable. Je me mit à tousser, une main plaquer devant ma bouche, mais notre assassin ne semblait pas avoir les même gênes que moi par rapport à ces immondices. On ne l'avait pas payé pour ça...

L'assassin ne toqua pas à la porte, ni quoi que ce soit d'autre mot de passe et code, il ouvrit simplement la porte et pénétra dans l'ettablissement.

Une pancarte rouillé pendait sur ses gonds, la chaine grincant au vent, affichant le nom du lieu : "Au joyeux Phénix".

Nous pénétrâmes dans ce lieu sordide est peu acceuillant. Contrairement à ce que je pensais, l'endroit était assez fréquenté : de nombreux nesséciteux mendiaient quelques pièces, avahcis à une table est sirotant une boisson alcoolisée, tandis que la musique mélancolique d'une lyre sonnait dans les mains d'un elfes noir sans le sous. L'établissement, petit, mal éclairé, bref, une architecture peu élaboré, était pourtant d'une propretée méticuleuse qui étonait quand on voyait les parages immédiat et l'aspect extérieur de l'ettablissement.

Je vis mon informateur avancer entre des rangé de tables, salué avec courtoisie de jeunes elfes en robe, ainsi que quelques viellard, mais toujours avec la même courtoisie distante. Il ne leur rendait que parce qu'il le saluait. Pour lui, ce n'était que des cibles potentiel.

J'observit les locaux avec l'oeil avisé de l'architecte nain : comme dit précédament, la taverne ne bénéficiait que de quelques rares fenêtre, mais celle-ci était trop crasseuse d'extérieur pour que la lumière du jour puisse passé. La porte par lequel j'était entré était petite, en bois que le temps n'avait pas favorisé. Face à cette porte, quelques tables de piètre qualités tronait, le bar, dont les marques d'armes et de coup de chope témoignaient de son age, siegeait derrière le tout, dos au mur. Il n'y avait apparement pas de porte qui aurait pus mener à une quelconque chambre.

Pour l'architecture, cela était peu impressionant, alors que le mobilier était un peu plus récent et en bon étât.

Sur les tables, deqs couverts et reste d'assiette attendaient que la serveuse aille les nettoyer, alors que quelques bras de fer musclé s'échangeaient entre les tables. Les bougies étaient, apparemment, fabriqué artisanalement, par le barman lors de ses heurs d'ennuis. La cire étati remodelé en une nouvelle bougie, plus économique. Malgré sa pauvreté évidente, le lieux sentait la propreté, et pas une toile d'araigné ne stagnaient dans les hauteurs de la salle. Le seul manque d'hygiène dans la salle emmanait des mendiants, et des relents putride d'une régurgitation d'un plat non digeste...

Mon informateur avançait toujours, ne s'arrêtant que quelques instant pour échanger une paire de main neutre, et, arrivé près du musicien mélancolique, s'inclina et le salua.

Je me sentis embarassé, car je ne savais si je devais moi aussi m'incliner.

Et c'est le musicien qui éclata en premier de rire, en voyant mon embarra, puis le rire se communiqua dans la salle entière. Il reprit parole quand le calme fut revenus parmis les clients qui se mirent à parler des routines de la ville, et que l'informateur se soit relevé :

- Alors, sire nain, vous semblez désemparé dés que vous quittez vos chere mines.

Je ne put m'empêcher de sourire, et je lui répondit :

- Alors, maître elfe, il paraitrais que les dunners sont beaucoup plus aimable après, qu'avant d'avoir affronté un nain en duel.

Je vis un sourir se dessiner sur son visage fin, tandis qu'il arrêtait de jouer de sa musique en finissant son accord majestueusement.

- Je vois que vous avez la langue bien pendu, monsieur... ?

- Appelez moi Börjok, répondis-je vivement.

- Et bien, Börjok, sachez que je me nomme Falfënth, pour vous servir. Mais les amis m'appellent l'ombre noire, dit-il mystérieusement.

- L'ombre noire ? Pourquoi ? lui demandais-je.

- Et bien, noire pour notre nom, elfes noirs, et l'ombre... Tout simplemnt pour ça.

Et il agita devant mon visage ma bourse, piteusement vide.

- Mais j'avous que je n'ai pas fait une grande prise, s'exclama-t-il en riant, tandis que je cherchais en vain ma bourse à ma ceinture, vous devriez mieu la surveiller, Börjok ! je suis sur que si elle était pleine, vous ne l'auriez déjà plus !

Et il éclata de rire, tandis que je devint rouge de honte, et que je récupéris ma bourse, ne me promettant de ne plus jamais la quitté du regard quand Falfënth serait dans les environs.

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